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À voir autour

Un deux roues s'il vous plait - Boucle 2

Un deux roues s'il vous plait - Boucle 2
Crédit : Pixabay

Description

Seilles (gare) - Landenne - Petit-Warêt - Pontillas - Gochenée - Forville - Seron - Meeffe - la Waloppe - Ambresin - Wasseiges - Hemptinne - Seron - Cortil-Wodon - Noville-les-bois - Fernelmont - Tillier - Marchovelette - Franc-Warêt - Hingeon - Sclaigneaux - Sclayn - Andenne - Seilles (gare)

Informations techniques

Vélo route
Difficulté
Moyen
Dist.
67 km
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Profil altimétrique

Point de départ

36 Rue de la Station , 5300   Andenne
Lat : 50.49645Lng : 5.09485

Points d'intérêt

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Place Joseph Wauters et monument commémoratif

En 1927, les autorités communales décident de l'installation d'un vaste parc à Seilles. Situé à l'emplacement de l'ancien pachis du village, il a été conçu par le paysagiste M. Groven. C’est la future Place Joseph Wauters, ainsi nommée en hommage au député socialiste de Waremme. Le kiosque de la Place Wauters est un kiosque à musique typique, reconnaissable par sa forme octogonale et ses colonnes inclinées. Il a été construit en 1935. Les éléments en fonte, le garde-corps et les colonnes proviennent de la fonderie Nestor Porta, installée à Huy. À l’occasion des fêtes du centième anniversaire de l’Indépendance de la Belgique, la Ville d'Andenne commande les plans d’un monument aux morts à Monsieur Magis, directeur des Carrières de la Meuse. Il est alors décidé que ce monument sera installé à Seilles, le long du parc communal (l’actuelle place Wauters). Le monument commémoratif est inauguré le 27 juillet 1930 en présence des autorités communales chargées de l’entretien du bâtiment. Après la Seconde Guerre mondiale, les noms des civils et soldats décédés sont ajoutés sur la partie droite du monument. Au centre, vous remarquerez la mention suivante : "À NOS MARTYRS CIVILS, À NOS SOLDATS, MORTS POUR LA PATRIE". Plusieurs arbres remarquables se trouvent également sur cette place : 6 Marronniers d'Inde, des frênes commun, un hêtre pourpre,un tilleul de Hollande.

1940 Place Joseph Wauters 5300 Andenne
- GAL Meuse@Campagnes -
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Ferme du château (ou ferme Libois)

Ce bel ensemble en pierre, caractérisé par ses deux tourelles, date principalement des 16ème et 17ème siècles. Ce fut le siège d’une seigneurie namuroise dès le 14ème siècle. À l’origine, la ferme jouxtait un château. Mais celui-ci, inhabité depuis longtemps, a été démoli en 1946. Il n'en reste actuellement qu’un pan de mur en pierre à gauche de la ferme au pied de l’étang. Celle qu'on appelle aussi Ferme Libois est une importante construction en calcaire organisée autour d'un plan en U ouvert à l'ouest, en direction de l'ancien château. À l'est, des murs anciens du 16ème siècle ont subsisté. Ils se reconnaissent par l'usage d'un bel appareil aux assises régulières et sont percés au centre par un ancien portail qui servait d'entrée (aujourd'hui murée). Juste à côté, vous pourrez observer une exceptionnelle grange du 16ème siècle, dont la maçonnerie est également très soignée. L'aile sud, pour sa part, se compose d'un corps de logis et d'une longue enfilade d'étables. Construite sur un bâtiment plus ancien, l'habitation date du 17ème siècle. Elle a été remaniée et exhaussée au 19ème siècle. Aux angles du complexe, les emblèmes de la ferme : deux tours rondes percées d'arquebusières. Chacune est surmontée d'un pigeonnier, d'une corniche et d'une toiture d'ardoises sous courte flèche octogonale. Enfin, au niveau du passage nord-sud, vous remarquerez deux portails, le premier de style Louis XIV (au nord) et le second, du 18ème ou 19ème siècle (au sud).

5300 Rue de l'Eglise Saint-Remy 5300 Andenne
- GAL Meuse@Campagnes -
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Ferme du Prieuré

La ferme que vous avez devant les yeux faisait jadis partie d'un ensemble plus vaste à vocation religieuse, le monastère de Saint-Sevère. Oui, il existait bien un monastère à Meeffe dont la première construction remonte probablement au VIIe ou VIIIe siècle. Quelques siècles plus tard, faute d'occupants, le monastère est cédé aux bénédictins de l'abbaye Saint-Laurent de Liège et devient un prieuré où s'installent quelques religieux. Mais la vie au prieuré de Meeffe ne ressemble pas à un long fleuve tranquille. Pillé et incendié à plusieurs reprises au fil des siècles, il voit à nouveau le nombre de ses moines se réduire comme peau de chagrin. C'est ainsi qu'en 1717, le prieuré de Saint-Sevère, toujours propriété de l'abbaye Saint-Laurent, devient désormais un bâtiment agricole. Il persiste cependant encore aujourd'hui plusieurs traces de ce passé religieux telle cette ancienne pierre armoriée au-dessus de la porte cochère sur laquelle on devine cette inscription presqu'illisible, Numinis Ope. C'est la devise de Oger de Loncin, abbé de Saint-Laurent (1586-1633). Tournez à présent votre regard vers la droite, vous découvrirez alors un bâtiment tout en pierre contrastant avec l'ensemble essentiellement construit en brique. Il s'agit de l'ancienne chapelle romane du monastère. Celle-ci reçut certainement quelques modifications gothiques, comme cette rosace dont on peut distinguer le cadre de pierre sur le mur opposé à l'entrée de la chapelle. La rosace, qu'ornait sans doute un vitrail à l'époque, est actuellement comblée par un mur de pierre et n'est pas facile à apercevoir. La chapelle du prieuré, devenue une grange au début du XVIIIe siècle, voit sa porte d'entrée entourée de briques au XIXe siècle, œuvre d'un des habitants de la ferme. Quant à saint Sevère, ses reliques ont déserté Meeffe pour trouver refuge à la maison-mère de Liège. Seul un buste du saint que l'on invoque contre les grandes sécheresses est vénéré dans l'église paroissiale.

3 Rue de Crocq 4219 Wasseiges
- GAL Meuse@Campagnes -
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Fontaine de Meeffe - Chapelle Sainte-Claire

Meeffe est traversé de plusieurs cours d'eau. La Mehaigne, la Soile, les deux Rhée, la petite et la grande, coulent sous les ponts et les rues du village ; elles sont elles-mêmes alimentées par de nombreuses sources. Il n'est donc pas étonnant de trouver une fontaine à Meeffe. Le petit bassin qui accueille la fontaine est formé d'un carré de pierres bleues. Une grosse pierre ovale et bombée en bordure du bassin servait sans doute à y nettoyer le linge. Juste derrière la fontaine, une grande potale, en pierre elle aussi et assez récente, est dédiée à sainte Claire. Elle contient une statuette de la patronne des aveugles. Mais ce qui est intéressant à cet endroit, c'est de poser son vélo et d'emprunter à pied le petit sentier longeant la potale. Après quelques mètres, traversez le petit pont qui surplombe la Rhée afin de poursuivre cette charmante promenade entre les jardins et maisons de la rue du Tiers. Au sortir du sentier, prenez à droite, repassez au-dessus de la Rhée, encore une fois à droite et vous vous retrouverez rue des fontaines. Une petite balade à Meeffe bien agréable ! Quant à l'origine du nom de Meeffe la connaissez-vous ? Le suffixe effe ou affia, d'origine celtique, signifierait "eau courante". Mais selon Maurice Bologne, historien wallon, Meeffe proviendrait de Maldavia, la "terre des marais". Quant à Joseph Deleuze, passionné d'histoire locale, il compare Boneffe, boun aiwe, c'est-à-dire "bonne eau", avec Meeffe, ma aiwe, c'est-à-dire "mauvaise eau". Il est vrai que le village comprenait jadis bon nombre de terrains marécageux.

3 Rue du Centre 4219 Meeffe
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Ancienne gare ferroviaire Zaman

Vous vous trouvez devant l'ancienne gare ferroviaire de Wasseiges. Construite fin du XIXe siècle, la gare comprenait deux bâtiments, l'un pour les recettes, l'autre servant de magasin. Plus tard, on construisit un logement jouxtant le bâtiment des recettes et celui-ci fut rehaussé d'un étage. La petite gare de Wasseiges a fait partie de l'intéressante histoire d'un petit train qui parcourut la région durant 40 ans, de 1879 à 1918, le train Zaman. Joseph-Emmanuel Zaman est un riche industriel bruxellois qui se tourne vers l'exploitation de la betterave sucrière lorsqu'il vient habiter au château de Wasseiges. Avec des fermiers de la région, il fait construire les sucreries de Boneffe et d'Ambresin et afin de véhiculer aisément sa production, il décide de construire un chemin de fer qui reliera les deux sucreries entre elles. Le train Zaman, comme il fut appelé, était également relié au réseau de chemin de fer déjà existant qu'il rejoignait en gare de Noville-Taviers. Une voie ferrée étroite (71cm) va désormais sillonner la région sur près de 10km. Le train Zaman transportait non seulement des betteraves, mais également des marchandises et des personnes. Huit gares furent construites sur le trajet, ainsi qu'un dépôt à Ambresin. Les remises pour voitures et locomotives sont encore visibles aujourd'hui sur le site de l'ancienne sucrerie. Deux ponts furent également érigés, un à Wasseiges et un à Branchon ; ce dernier fut un remarquable ouvrage d'art, un viaduc métallique de 127m de long et de 5,5m de haut, qui fit la renommée du train Zaman.

21 Rue de Merdorp 4219 Wasseiges
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Église Saint-Martin

De construction classique, l'église de Pontillas date de 1790, comme l'indique la pierre située à mi-hauteur de la façade de la tour. Son chœur, lui, date de la deuxième moitié du XVIIe siècle. La tour et la face latérale sont ponctuées d'un œil de bœuf. L'église est dédiée à saint Martin. L'édifice borde un petit cimetière cerné d'un mur de pierre, où se dresse une croix d'occis de 1622 à la mémoire de six victimes de la guerre de trente ans (XVIIe siècle). Mais qui était ce saint Martin dont près de 500 églises et chapelles de Wallonie lui sont consacrées et qui est vénéré depuis dix-sept siècles dans nos régions ? Martin est né en Hongrie au IVe siècle. De père militaire et païen, il fut élevé à Pavie où son père était affecté. Devenu lui-même soldat et chrétien, il part en garnison en Gaule et c'est à Amiens, alors qu'il n'a que 18 ans, qu'il accomplit son célèbre geste de charité envers un pauvre. Dans La vie de saint Martin, Sulpice Sévère écrit : "Ainsi, saisissant l'arme qu'il portait à la ceinture, il partage sa chlamyde (manteau) en deux, en donne un morceau au pauvre et se rhabille avec le reste." Lorsque Martin quitte l'armée - il a alors 40 ans -, c'est pour se consacrer à sa foi. Il vit en ermite près de Poitiers, est rejoint par quelques "frères", crée le premier monastère en Gaule et devient évêque de Tours. En évangélisant les provinces gauloises et en incarnant la charité chrétienne, dans tout son dénuement, saint Martin est devenu un des saints les plus populaires de nos régions et c'est pourquoi tant de nos paroisses lui sont dédiées.

53 Rue de l'Eglise 5380 Fernelmont
- GAL Meuse@Campagnes -
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Église Saint-Rémy

L’église paroissiale Saint-Rémy est un édifice classique construit en moellons de pierre calcaire. Il a été construit en 1760-1761 par le chapitre de Notre-Dame de Sclayn. L’église comprenait à l’origine une tour à l’est, une large nef de 3 travées, un transept saillant et un chœur peu profond à 3 pans. La tour a été remaniée et exhaussée d'un étage en 1875 par l’architecte J.-L. Blandot de Huy. Le portail monumental a lui aussi été ajouté au 19ème siècle. Deux chronogrammes attestent de la date d'édification de l'église. Le premier est situé sous la tour et le second, sur la porte d'accès à la sacristie. Dans l'église, on compte plusieurs éléments de mobilier ancien : des fonts baptismaux du 18ème siècle, des confessionnaux du 17ème siècle, des autels, lambris, bancs de communion, un confessionnal et des peintures du 18ème siècle et enfin, des croix funéraires et des pierres tombables remarquables des 16ème, 17ème et 18ème siècles. Dans le cimetière de Landenne, 61 tombes ont été jugées remarquables, dont certaines sont entretenues par les Services communaux. Les critères de sélection de ces sépultures sont d'ordre historique et artistique. Parmi les tombes remarquables de ce cimetière, on en compte 2 d'intérêt historique, 6 d'intérêt artistique, 13 de personnes décédées en 14-18, 4 de martyrs de la Première Guerre mondiale et 36 de personnes décédées en 40-45 (certaines tombes appartiennent à plusieurs catégories).

5300 Rue de l'Eglise Saint-Remy 5300 Andenne
- GAL Meuse@Campagnes -
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Église Saint-Etienne de Seilles

L'église Saint-Étienne de Seilles est le plus ancien bâtiment du village, elle aurait été construite sur les ruines d’une villa romaine. La tour carrée et la nef datent du milieu du 11ème siècle, elles ont donc presque 1000 ans… La tour de l’église avait une double fonction, elle servait de clocher à l’église mais aussi de fortification au village en cas d’attaque. On peut d’ailleurs encore apercevoir des meurtrières, ouvertures de tir pour les archers et les arbalétriers, sur les 4 faces de cette tour. L’édifice est de style roman qui se caractérise par un aspect massif, des murs épais, des fenêtres étroites et peu nombreuses et de gros piliers extérieurs. Le porche d’entrée date quant à lui du 16ème siècle, il a été construit pour remplacer l’ancienne porte qui se trouvait sur le côté de l’édifice. Cette partie de l’église est d’un autre style, le style gothique tardif typique de nos régions. Lors des dernières restaurations de l’église en 1974, en enlevant la chaux qui couvrait les murs, on a découvert des peintures murales anciennes. Elles sont dans un bon état de conservation et pourraient dater du 15ème siècle. Le saviez-vous? Une charpente romane est préservée sous les combles. Elle est constituée de madriers grossièrement équarris à la hache et assemblés à mi-bois. Toutes les poutres sont chevillées. Sous l’angle sud-ouest de la tour, se trouve un puits de 14m de profondeur.

14 Rue du Cimetière 5300 Andenne
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Place Jean Tousseul

Jean Tousseul, né Olivier Degée, voit le jour en 1890 à Landenne. À l'âge de 5 ans, il déménage avec ses parents à Seilles où il passe sa jeunesse. Sa santé fragile le contraint à abandonner rapidement l’école. Il occupe alors ses journées à se promener le long de la Meuse et à sillonner Seilles, qu’il surnommera le Village Gris. Pour survivre, Jean Tousseul exerce plusieurs métiers, aussi différents les uns que les autres : ouvrier dans les carrières de Seilles, comptable, peseur, journaliste, pépinièriste… C'est en 1936 que commence véritablement sa carrière d’écrivain, avec le premier des cinq volumes des aventures de Jean Clarambeaux, son œuvre majeure. Jean Tousseul rédige aussi de nombreux recueils de contes et de nouvelles. La Seconde Guerre mondiale est un véritable choc pour l’auteur. Il n’y survit d’ailleurs pas et s’éteint en 1944 à Seilles. Au coeur de son cher village gris, un square, inauguré en 1951, porte le nom du plus grand des Seillois : c’est la Place Jean Tousseul où vous pourrez admirer un buste à son effigie. Cette oeuvre a été réalisée par André Wagnies, artiste régional reconnu et professeur de dessin à l’Athénée de Huy. Fin juin 2017, le Collège communal a élevé Jean Tousseul au rang de citoyen d’honneur de la Ville d’Andenne. Une décision officielle et symbolique qui permet de reconnaître l’importance de cet auteur à titre posthume et de poursuivre le travail de valorisation du patrimoine littéraire et culturel andennais.

7 Place Jean Tousseul 5300 Andenne
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Tumuli de Seron

Les trois tertres qui s'érigent dans la campagne entre Meeffe et Seron font partie depuis 2013 du patrimoine exceptionnel de Wallonie. Situés à 4,5km de l'ancienne chaussée romaine reliant Bavay à Cologne, datés du IIe siècle, ils font régulièrement l'objet de fouilles archéologiques comme ce fut encore le cas du 5 juin au 18 juillet 2018. De nouveaux éléments sont alors venus étayer le fait que ces tombes de Seron sont parmi les plus importantes de la région, car si elles ne sont pas très hautes, nous n'en voyons que la partie émergée. En effet, les fouilles récentes ont permis de découvrir que le tumulus isolé aurait été entouré d'un enclos d'éclats de grès de 29m de côté et de 60cm de large. Que pouvons-nous en déduire ? Cet enclos pourrait signifier la séparation entre le monde des morts et celui des vivants. Lors d'une campagne de fouilles antérieure, en 1854, on découvrit - toujours sous la tombe isolée - les restes d'un cercueil en bois contenant des ossements humains calcinés et quelques poteries. Il est fort probable que ces restes seraient ceux, non pas d'un haut officier de l'armée romaine, mais plutôt d'un riche propriétaire d'un domaine agricole des alentours, dont ses esclaves auraient façonné la tombe en y transportant de grandes quantités de terre N'hésitez pas à grimper sur les tumuli de Seron, vous y embrasserez du regard la campagne hesbignonne environnante. Haut perché - cinq à six mètres au-dessus du sol -, vous y devinerez les villages de Meeffe, d'Hemptinne et de Seron. D'autres tombes se dévoileront pour peu que le temps le permette, telles celles de Merdorp, d'Ambresin ou d'Avesnes.

11 Rue des Tumulis 5380 Fernelmont
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Ferme du Gros Maillet

La Ferme du Gros Maillet fut construite au début du XIXe siècle. Elle était anciennement située rue de l'ancien vicinal reliant Namur à Forville, car au début du XXe siècle, Noville-les-Bois était desservi par une ligne non-électrifiée de trams. Toutes les lignes de trams du Namurois furent démantelées dans les années 1950 et 1960. La Ferme du Gros Maillet se présente comme un bâtiment agricole bien différent, architecturalement parlant, de ceux que l'on peut rencontrer dans nos villages. Le corps de ferme fut construit à rue, tout en longueur. Seul, un muret le sépare de la route. Toutes les fenêtres, ainsi que la porte, sont bordées d'une pierre de taille toute simple, droite, sans fioriture. Les étables et autres bâtiments utilitaires sont situés à l'arrière. On y trouve également de nouvelles installations où les fermiers actuels transforment le lait en glaces, yaourts et fromages blancs. La ferme est reprise en 1995 par la famille Delcourt. En 2011, Joëlle et Virginie ont ouvert un magasin qui propose des glaces, des gâteaux glacés ainsi que du fromage blanc et des yaourts. Adresse : Joëlle et Virginie Delcourt rue Mahy 29 5380 Fernelmont 0477/19.18.72 fermedugrosmaillet@skynet.be lafermedugrosmaillet.blogspot.com/ Type de production : produits laitiers – Glace (en litre, 1/2l et gâteaux sur commande) – Sorbets – Yaourts au lait demi-écrémé : nature et aux fruits – Fromages blancs : nature et épicés Lieux de distribution : magasin à la ferme ouvert du jeudi au samedi, de 9h à 12h et de 14h à 18h.

29 Rue Mahy 5380 Fernelmont
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Château de Franc-Warêt

Château-ferme fortifié de la fin du XVIe siècle, le château de Franc-Warêt fut remodelé au XVIIIe par l'architecte Chermanne, à la demande de son propriétaire, le comte de Groesbeeck. Chermanne aménagea également des jardins à la française à l'arrière des bâtiments. On accède au château par deux ponts surplombant les douves, ainsi que par un pont-levis qui donne accès à la cour de la ferme. La façade principale est riche de nombreuses fenêtres qui la ponctuent, ainsi que d'un frontispice à trois étages, à fronton triangulaire, qui rehausse sa solennité. A l'angle droit de la façade se trouve une logia datant de 1834 et une fontaine en pierre. En entrant dans la petite cour pavée, à gauche du château, on peut accéder aux bâtiments, à droite, et à l'ancienne orangerie, à gauche. Face à vous, un peu surélevée dans les jardins, se situe la nouvelle orangerie construite au XIXe siècle. A l'intérieur, le château regorge de trésors, tels que tableaux, meubles et tapisseries. Sa collection de tapisseries s'inspirant des chasses de Maximilien est remarquable. Ces chasses, visibles au Louvre, furent fabriquées à Bruxelles. Elles représentent la chasse au cerf et chacune d'elles se rapporte à un mois de l'année. On y reconnaît certains lieux bruxellois ainsi que les nombreux végétaux et animaux qui vivent dans nos forêts. Le château de Franc-Warêt est classé comme monument.

50 Rue du Village 5380 Fernelmont
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Auteur de la donnée

Image GAL Meuse@Campagnes
proposé par GAL Meuse@Campagnes
rue du marais, 11 5300 Seilles Belgique

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Nous n'avons pas d'information sur la difficulté de ce circuit. Il se pourrait que vous ayez quelques surprises en chemin. Avant de partir, n'hésitez pas à vous informer un peu plus et à prendre toutes les précautions nécessaires. Bonne balade ! 🌳🥾