SENTIERS D'ART - 160 km - Assesse, Ciney, Gesves, Hamois, Havelange, Ohey et Somme-Leuze

Le collectif NSN997 propose une fresque cinacienne qui existe comme élément d’un projet plus global appelé «POSITIVE PATTERN», un art figuratif qui représente une société positive et en cohésion avec elle-même. Des figures, en blanc et noir, qui se rencontrent en échangeant des symboles et des formes. Elles se côtoient et se fondent entre elles. Le choix du blanc et noir renvoie à la symbolique de l’opposition tandis que le jaune or souligne la valeur de la beauté, du partage, du mélange et des rencontres. Le collectif focalise son travail sur la collectivité, la représentation d’une société plurielle, en tentant de créer une ouverture vers une économie plus équitable via la mise en relief du partage des biens communs. -2022-

La région Condroz-Famenne est une destination wallonne où il fait bon vivre. L’expérience gastronomique proposée, le charme des villages, et les paysages entre forêts et collines, offrent une déconnexion immédiate aux visiteurs. Pour une excursion de quelques jours entre Condroz et Famenne ou à l’occasion d’une visite du domaine de Chevetogne, il est indispensable de goûter aux multiples saveurs de cette belle région préservée. La Maison du Tourisme vous partage ses coups de coeurs, ses itinéraires de randonnées, ses projets phares tels que "Sentiers d'Art" ou "Mes Aventures d'enchanteur". Une petite faim ? Elle vous fournit les bonnes adresses où manger mais aussi où bien dormir pour prolonger votre séjour et l'enrichir d'un tas d'activités culturelles et sportives. +32 (0)86 40 19 22 www.destinationcondroz.be  info@destinationcondroz.be Horaires Ouvert tous les jours Du 01/04 au 31/10du lundi au dimanchede 10h à 16h Du 02/11 au 30/03du lundi au dimanchede 10h à 14h Fermé le 01 et 11/11-25/12-01/01 et les dimanches de janvier à fin mars  

Cette fresque de Loren Lefebvre représente un trait d’union joyeux entre les différents éléments de la région de Ciney et propose plusieurs clins d’œil aux institutions qui marquent l’identité de la ville. Une fresque colorée qui dynamise un parcours tourné vers l’art et qui fait écho à la vie du théâtre. -2023-

Fiona Paterson (France)-2019 Trois icebergs se sont dégagés de la banquise. Ils incarnent notre préoccupation globale pour le changement climatique et la hausse du niveau de la mer. Ils flottent aujourd’hui dans les arbres de notre forêt car le changement climatique n’a pas de frontière.

A travers leurs créations, les artistes de Phayam Production, Marina Gutiérrez et Antoine Mathurin, veulent attirer l’attention du public sur les préoccupations actuelles en matière d’écologie. Pour cela, ils mettent en valeur plusieurs espèces végétales ou animales peu connues ou à défendre. Ici le Bubulilla ou Huppe fasciée, espèce menacée qu’il est parfois possible d’apercevoir en Wallonie au printemps... pour les très chanceux. Travailler sur de grandes peintures murales leurs permet de se concentrer à grande échelle sur de petites choses que l’on remarquerait à peine. Ils jouent sur la perception des choses anodines en inversant les rapports de grandeur pour questionner notre rapport à la réalité. Par l’utilisation de couleurs vives et chaleureuses, ils proposent aux utilisateurs une invitation au voyage dans un environnement végétal fantaisiste et évocateur illustré par un graphisme moderne. -2022-

Nicolas Bourguignon et Xavier Willot (Belgique) -2019 Un abri, le temps d’un instant, d’une nuit, pour se poser, se reposer. Un abri en suspension dans l’espace, comme en lévitation, et qui invite également à suspendre le temps pour se ressourcer.Cet abri se situe au milieu des bois, vous avez donc l'obligation de respecter le code forestier. En quelques points :Interdiction de faire du feu, de se déplacer avec un véhicule motorisé, de rester sur place plus de quelques heures.Obligation de ne laisser aucune trace de votre passage, de respecter la quiétude des lieux et l’environnement, ...

"Fourmis" de Anne Krug - installée en mai 2021 Cinq fourmis marchent en ligne... Elles sont grandes et élégantes. Elles profitent des premiers rayons de soleil. Rien ne peut les perturber. Elles marchent à leur rythme et jouissent de pouvoir vivre dans cette zone protégée. En fin de colonne une sixième fourmi sort de terre. On peut apercevoir sa tête et le début de son abdomen. Combien de créatures sortiront encore de terre? Sont-elles nombreuses ? Une ode à la nature et à nos compagnons invisibles de tous les jours. Anne krug a réalisé aussi l'oeuvre "Chère Terre" située à Gesves

Inspiré par les célèbres chemins de pèlerinage, l’artiste Stefano Devoti a voulu créer un lieu de recueillement sur Sentiers d’Art. Il propose un chœur d’arcs gothiques, un demi-cercle de bois, qui invite à éveiller ses sens aux côtés sacrés de la nature. Il propose à tout un chacun de s’approprier cet espace également comme un lieu de partage scénique, de moments contés et musicaux.

Marc Averly (France)- 2019 Farakas 4 est l’art de ranger le bois en jouant avec les différences de taille, de couleur et d’écorce pour donner une forme à l’ensemble. En son milieu se trouve une ouverture permettant le passage au promeneur et l’incitant à visiter ce qui se passe au-delà.

L’artiste Mario Boccolini invite les randonneurs à prendre le temps, profiter de l’instant... Cette main géante vous invite à vous asseoir, vous poser, profiter de la vue, observer la nature. Réalisée en bois de récupération, elle fait écho à la nature qui l’entoure et appelle à une reconnexion avec le vivant ! Sur Sentiers d’Art, Mario a également réalisé l’abri artistique «Torvtak» dans le bois du Bocq à Schaltin. -2022-

Isabelle Aubry (France)- 2019 La nuée de papillon propose au promeneur de poser le regard sur la biodiversité, si proche, si visible et de s’interroger sur ce que la nature nous donne et sur ce que l’homme en fait.L’arbre, symbole de puissance, de verticalité et de robustesse peut également être vulnérable : enraciné/déraciné, debout/couché. Il est également support à la vie, portant ici la nuée de Morpho, prête à s’envoler, comme un signe de renaissance et d’espoir.

Tim Norris (Royaume-Uni) -2019 La sculpture composée de matériaux naturels indigènes est une réponse de l’artiste au paysage. Elle a pour but de susciter un sentiment d’interaction avec le paysage. "Woven Shelter Seat" souffre du temps qui passe. Elle sera cependant bientôt remise à neuf.

Mario Boccolini (Espagne) -2019 Torvtak est le terme qui définit les toits végétaux norvégiens. L’abri est inspiré de cette technique nordique qui lui permet de se fondre dans le paysage et de ne faire qu’un avec la nature environnante. Pour accentuer cette sensation d’unicité, Torvtak prendra des formes organiques, arrondies, en symbiose avec les bois qui l’entourent.Cet abri se situe au milieu des bois, vous avez donc l'obligation de respecter le code forestier. En quelques points :Interdiction de faire du feu, de se déplacer avec un véhicule motorisé, de rester sur place plus de quelques heures.Obligation de ne laisser aucune trace de votre passage, de respecter la quiétude des lieux et l’environnement, ...

Artiste : Wu Shixiong (Chine) 2006 Les buissons et les arbres se reflètent dans cet étrange cristal tombé du ciel. Depuis 2001, l'ASBL "La Fête de Mai" installe des oeuvres sur le territoire de la commune de Gesves dans le cadre de "La Fête de Mai". Certaines de ces oeuvres se retrouvent sur le parcours de "Sentiers d'Art"

Dmitry Krivonosov (Russie)- 2019 Toute l'authenticité de la vie est écrite dans l'ADN. C'est le stockage des informations sur la nature, sa structure, son architecture moléculaire, ses caractéristiques et ses connexions historiques avec toute forme de vie. L’homme partage cette ADN, c’est donc essentiel pour lui de vivre en harmonie avec la nature.

Françoise Bastin (Belgique)- 2019 En 1652, Marie Orban a été accusée de sorcellerie et condamnée au bucher. Cette œuvre est un mémorial en hommage aux victimes de l’obscurantisme et propose une réflexion sur la violence et l’intolérance qui perdure toujours dans notre société, particulièrement vis-à-vis des femmes.

Patrick Demazeau (France)- 2019 « L’eau d’ici » témoigne de la présence de l’homme dans l’environnement naturel. Du savoir de l'homme est né l'outil qui nourrit la nature et en retour elle lui donne le fruit mûr de son travail. Symbole de vie, le récipient apporte l'eau, indispensable à toute vie, à toute croissance. Le titre « L’eau d’ici » a été choisi pour ses sonorités voisines de celles de : « L’odyssée » qui nous évoquent le voyage, la découverte, l’aventure

Artiste : Patrice Liron (France) Ces hommes de chêne ne sont pas des héros. Ils essaient juste de rester debout, de respirer. Cette installation expose à la lumière et au temps la nudité de l'homme de bois brut , cette nudité qui souligne sa fragilité et sa quête d'un abri. Cette œuvre imaginée par l’artiste est poétique voire mystérieuse au premier abord. A l’image du site dans lequel elle s’inscrit, l’installation concentre des énergies positives qui explorent la relation de l’homme avec la nature. « Sans refuge ou nus comme un ver » est un assemblage de quelques 25 planches de chênes issus en grande partie d'une ancienne cuve à vin bordelaise . -2017-

Tiiu Kirsipuu et Kalle Tiisma (Estonie) - 2019 Triskele (une forme triangulaire) est un symbole très ancien. Il peut signifier vie-mort-renaissance, passé-présent-futur, terre-eau-ciel, etc. Il est connecté avec le temps, le mouvement et les changements. Triskele est un espace spirituel où l’on peut se reposer, penser à la vie et au temps, regarder et écouter la nature.

Cette réalisation amène un questionnement. Pourquoi faire pousser des arbres dans ces structures ? Ces cubes représentent la civilisation, toujours plus envahissante, l’habitat, etc. La nature voit son environnement de plus en plus restreint, mais elle s’adapte et survivra certainement à l’homme. Les arbres ne peuvent s’empêcher de grandir en faisant corps avec les cubes, en l’englobant. L'artiste souhaite par cette installation inviter le spectateur à observer l’évolution de la croissance de l’arbre et la place qu’il occupe dans le cube au fil des années. L’abattage intempestif des arbres dans le monde et sa déforestation rompent l’équilibre qui nous envoie sans cesse des signes d’alarmes (inondations, éboulement,…)

(L)Ames Bouchet Fanny Messier Emmanuelle Crée en 2013, Ie collectif BYME évolue entre architecture, design, scénographie et création plastique. Nourries par des inspirations qui puisent dans la littérature, la sculpture, la science, la nature ou la culture populaire, Fanny Bouchet et Emmanuelle Messier mettent l’usager, son émotion, ses gestes et son imagination au cœur de chacun de leurs projets. Une certitude, celle que le spectateur fait partie intégrante de nos installations et de nos scénographies. Nous croyons qu’il apporte à travers ses émotions et ses gestes, un sens et que c’est cette interaction unique, qui fait l’essence de notre travail. Mais quelle est donc cette étrange onde qui flotte au-dessus de la clairière ? Intrigué, le visiteur hésite un instant. « Est-ce que je rêve ? Est-ce une illusion ? ». D’ici, il pourrait pourtant jurer l’avoir vu bouger ! Il décide d’aller voir cela de plus près ! Il s’avance. Ses mains effleurent les pierres qui flottent au-dessus du sol. Le temps semble s’être arrêté, comme suspendu. Un peu plus loin, il remarque un passage qui mène vers l’intérieur… Les pierres vibrent sur son passage. Le voilà arrivé au cœur de la vague. A ses pieds il peut alors lire cette citation «.Les âmes se pèsent dans le silence, comme l’or et l’argent se pèsent dans l’eau pure, et les paroles que nous prononçons n’ont de sens que grâce au silence où elles baignent.». Il sourit. En levant les yeux, il prend un instant pour admirer l’horizon souligné par l’ondulation de cette mystérieuse vague aux milles pierres. Nous nous sommes laissées guider par les mots de Maurice Maeterlinck, à travers un processus d’accumulation qui nous est cher. Une esthétique radicale contemporaine qui modifie la perception des matières, mais aussi la perception de l’horizon dans lequel nous intervenons. Une esthétique de répétition qui vise à faire resurgir l’imaginaire de chacun. L’installation [L]AME cherche à intriguer le visiteur en le plaçant dans une situation qui éveille sa curiosité. Le long du chemin qui la traverse les pierres sont facilement manipulables, à hauteur du toucher et elles vibrent au contact du visiteur. La flexibilité des tiges permet de mettre en mouvement les galets, qui s’entrechoquent légèrement, créant une vibration sonore envoûtante. Le visiteur peut déambuler au cœur de ces (l)ames, et lorsqu’il atteint finalement le centre de l’installation, il découvre à ses pieds la citation qui vient résonner comme une clé de lecture supplémentaire pour en comprendre l’origine. www.byme-architecture.com

Artiste : Paul Tellier et Nicole Gere (BE) 2007 Un devoir de mémoire et de transmission. Les murs confient une vie nouvelle à la pierre abandonnée. Ils sont ouverts et l’un d’eux s’écroule. Depuis 2001, l'ASBL "La Fête de Mai" installe des oeuvres sur le territoire de la commune de Gesves dans le cadre de "La Fête de Mai". Certaines de ces oeuvres se retrouvent sur le parcours de "Sentiers d'Art"

Artiste: Pierre Jadot (Belgique) 2007 Un mûrier blanc. Qui nourrit les vers à soie. Le doux et l’épineux. Les racines. Le cocon. Une invitation à partir à la quête de soi(e). Depuis 2001, l'ASBL "La Fête de Mai" installe des oeuvres sur le territoire de la commune de Gesves dans le cadre de "La Fête de Mai". Certaines de ces oeuvres se retrouvent sur le parcours de "Sentiers d'Art"

Artiste:François Davin 2001 Dans le cirque grandiose de la carrière abandonnée, un géant de douze mètres de long, construit avec les blocs en grès des éboulis, repose dans l’herbe et les joncs. Depuis 2001, l'ASBL "La Fête de Mai" installe des oeuvres sur le territoire de la commune de Gesves dans le cadre de "La Fête de Mai". Certaines de ces oeuvres se retrouvent sur le parcours de "Sentiers d'Art"

A travers «Symbioses», Thyl Seeger veut interpeller sur la frontière entre l’humain et la nature qui se crée dans nos sociétés. Pour cela, il choisit de travailler dans une échelle sur-dimensionnée et de mettre en exergue une nature reprenant ses droits. Cette fresque s’inscrit également dans le paysage par tout une série de clins-d’oeil à la toile de fond naturelle que compose la végétation, la roche et les bois environnants. -2023-

Sally Ducrow vit en France depuis longtemps... Mais, à la base, elle vient de Londres ! On pourrait donc dire que la pause du thé fait partie de son ADN. C’est alors, tout naturellement qu’elle a voulu rendre hommage à cette tradition... En installant, le long de Sentiers d’Art, cette tasse géante dans laquelle le sachet de thé attend d’être trempé. A travers cette proposition, Sally veut surprendre aux détours des chemins, faire sourire et souligner l’importance de s’accorder des pauses précieuses dans notre quotidien. Profitez du petit «moment sacré» de s’accorder une tasse de thé...

« Transhumance» évoque ce mouvement créé par le besoin vital et rythmé par les saisons. Construite avec, entre autres, de la laine de mouton, cette structure interroge notre regard sur le «mouton noir» en tant que représentation d’affirmation individuelle et sur le «mouton blanc» en tant que symbole de désir de conformité. A travers la laine, c’est aussi un lien avec notre patrimoine paysan que le collectif "Les veilleuses" aborde. Un appel à notre responsabilité du devenir de la terre et de notre civilisation. -2023-

«Korowaï» est un cocon réconfortant où prendre une pause le long de votre chemin. Construction de bois, son nom renvoie à la tribue Korowaï, peuple des arbres en Nouvelle Guinée. Au coeur de ce verger conservatoire, prenez le temps du pique-nique, du repos et de l’échange. Ce type de verger permet de conserver de vieilles variétés rustiques qu’il est aujourd’hui difficile de trouver ! Christian a réalisé deux autres abris sur Sentiers d’Art. «Sous son aile» à Haltinne et «Tout encoquillé» à Barvaux-Condroz. -2022-

Antoine Janot – Le nid Cette œuvre de l’artiste pluridisciplinaire Antoine Janot rend un bel hommage à la nature. Elle questionne aussi de manière poétique et subtile les enjeux environnementaux et climatiques. Le parcours d’Antoine Janot (1988) est atypique. Ce jeune plasticien a démarré sa carrière avec un master de cinéma en poche, se lançant ensuite dans la vidéo expérimentale, l’écriture, la peinture d’inspiration onirique et la sculpture. Antoine Janot a commencé en 2022 à faire ses premières installations en Auvergne (France) pour une communauté de communes qui préparait un parcours écologique autour de l’eau, de la faune et de la flore. ll réalise dix installations in-situ exposées de façon permanente dans un parc municipal En 2023, Antoine Janot crée l’œuvre in-situ Le passage, dans un édifice inscrit au Patrimoine Culturel coréen à Jipyeong (Corée du Sud). Le plasticien-sculpteur réalise La cabane aux miroirs lors de l’édition 2023 de Horizons Arts-Nature en Sancy , œuvre qui a reçu le Prix du public En 2024, il réalise Loge de Vigne pour le festival de land art Vign’art ainsi que l’œuvre monumentale Fractures pour la ville de Bourg-en-Bresse. Fort de ces expérience, Antoine Janot entouré d’ Agathe Lepoutre et de Laurent Espiasse va réaliser une nouvelle sculpture monumentale à Gesves Le nid. Trois œufs géants entièrement recouverts de mosaïque de miroirs, donnent l’impression qu’ils sont tout craquelés et sur le point d’éclore. Cette œuvre évoque immédiatement la féérie, les légendes inspirées par la Nature et les créatures qui y vivent. A quels êtres, les œufs, sur le point d’éclore, vont-ils donner vie ? Le nid est une invitation à l’émerveillement, mais aussi à une réflexion concernant notre impact sur la Nature. Les œufs, faits de miroirs brisés, reflètent une Nature cassée par l’humain. Cette allégorie de la Nature brisée nourrit un questionnement sur les dommages irréversibles causés par l’humain. Le réchauffement climatique menace non seulement la survie de nombreuses espèces végétales et animales, mais il bouleverse également un équilibre fragile qu’il est indispensable de préserver pour notre survie. https://fr.antoinejanot.com/    

Michiel Verstraten et Arad Shiein (Belgique) Six arbres à l’envers pour nous rappeler que les arbres sont les fabricants d’oxygène et que, sans la forêt, aucune vie n’est possible sur terre. -2018-

Véronique Roland (Belgique) Verre, bois, acier Corten et lumière… des matériaux nobles, en forme d’arche pour rendre hommage à la grandeur de la nature et au génie des bâtisseurs de cathédrales ! -2018-

Anne Krug (Belgique) - 2018 Un mélange de matériaux naturels et artificiels pour raconter notre planète : le dialogue entre leurs différences mais aussi le lien qui, intimement, unit les hommes et la nature.

Artiste: Arno Arts (Pays-Bas) - 2017 Avec l’arbre mobile, Arno Arts offre au promeneur une singulière rencontre en forêt : une maison en bois sur quatre roues. De la cheminée de la maison sort… non pas de la fumée mais un arbre ! Il semble que l’arbre se soit détaché de ses racines.L’arbre semble lui aussi devenir mobile. Un projet avec les écoles de Gesves va donner un coup de jeune à l'oeuvre dans le courant de cette année 2022 !

Artiste: Aris de Bakker et Karola Pezarro (Pays-Bas) - 2017 Intersection consiste en quatre passages identiques couverts de branches de saule vivantes qui viennent, ensemble, se rejoindre en formant une « chapelle ».Là, le promeneur se voit un peu désorienté, attiré par le tintement de petites cloches accrochées au sommet de la chapelle. Celle-ci est l’endroit idéal pour un instant de réflexion avant de continuer sa route. Toutes les ramures sont connectées par une structure de branches tissées. Les branches vivantes grandiront dans la largeur et la hauteur pour colorer l’œuvre de belles feuilles vertes. L’installation évoluera constamment au fil des saisons pour, au final, s’intégrer parfaitement au lieu.

Artiste : Fiona Paterson (France) - 2016 "Alis Volat Proprijs- il vole de ses propres ailes" « Ce n’est pas en lui tenant les ailes qu’on aide un oiseau à voler. L’oiseau vole simplement parce qu’on l’a laissé être oiseau » – Mia Couto, écrivain Depuis 2001, l'ASBL "La Fête de Mai" installe des oeuvres sur le territoire de la commune de Gesves dans le cadre de "La Fête de Mai". Certaines de ces oeuvres se retrouvent sur le parcours de "Sentiers d'Art"

Artiste : Paul Tellier (Belgique) - 2016 « Figure-toi un danseur de corde, en brodequin d’argent, le balancier au point, suspendu entre le ciel et la terre… s’il regarde en-bas, la tête lui tourne ; s’il regarde en-haut, le pied lui manque…voilà a vie, mon cher ami… » – Octave dans « Les caprices de Marianne » de Alfred de Musset Depuis 2001, l'ASBL "La Fête de Mai" installe des œuvres sur le territoire de la commune de Gesves dans le cadre de "La Fête de Mai". Certaines de ces œuvres se retrouvent sur le parcours de "Sentiers d'Art"

Artiste:Christian Lagrange (Belgique) - 2017 Qui n’a pas rêvé de se blottir ou se reposer sous l’aile d’un bel oiseau protecteur ?Un refuge protégé sous l’aile du volatile. (Sans préciser lequel…) Il s’agit d’un petit coin repas, avec bancs et table au rez-de-chaussée, permettant de s’y restaurer à l’abri de la pluie et à l’étage une plate-forme permettant le couchage. Les abris artistiques et poétiques permettent aux randonneurs de s’abriter et se reposer un temps au cours de leur progression sur le sentier… Pas de réservation possible. Premier arrivé, premier installé!Attention, merci de respecter la quiétude des lieux en suivant la réglementation du code forestier (la loi).Pour rappel : Interdiction de faire du feu, de se déplacer en véhicule motorisé, de rester plus de quelques heures, ... Et obligation de respecter l'environnement, la quiétude des lieux, de ne laisser aucune trace de votre passage.

Artiste : Daniel Van de Velde (France) - 2001 Le fût d’un arbre débité en tronçons est évidé, en respectant les cercles annuels de croissance. L’ensemble reconstitue ainsi l’arbre d’origine. Je vais, je viens, je vide. Je ne fais qu’évider… Je dévoile les énergies. Depuis 2001, l'ASBL "La Fête de Mai" installe des oeuvres sur le territoire de la commune de Gesves dans le cadre de "La Fête de Mai". Certaines de ces oeuvres se retrouvent sur le parcours de "Sentiers d'Art"

Artiste : Benoît Tremsal (France) - 2001 Echange de terre entre les villages de l’entité de Gesves. L’artiste a creusé quatre trous et échangé leur contenant de place Depuis 2001, l'ASBL "La Fête de Mai" installe des oeuvres sur le territoire de la commune de Gesves dans le cadre de "La Fête de Mai". Certaines de ces oeuvres se retrouvent sur le parcours de "Sentiers d'Art"

Artiste : Alexandre Rossignon (Belgique) - 2015 Rencontre, un objet, un lieu, un soi, un autre, Rencontre.Espace de recueillement comme on en fait plus, comme on pourrait en faire demain, espace de recueillement pour une génération en recherche d’identité, refuge du voyageur, étape du vagabond, insolite propriété de la nature et du temps.L’homme dans son milieu naturel, frontière entre modernité et vestige, technicité et divinité, simplicité.Expression de la forme avant la fonction, intention du lieu, d’un toit plutôt qu’un toit lui-même, ogives d’église, véritables colonnes vertébrales de l’éveil , questionnement, hymne à la nature. Depuis 2001, l'ASBL "La Fête de Mai" installe des oeuvres sur le territoire de la commune de Gesves dans le cadre de "La Fête de Mai". Certaines de ces oeuvres se retrouvent sur le parcours de "Sentiers d'Art"

Artiste : Michèle Visart (Belgique) Je marche pour rêver, et découvre un phénix aux ailes déployées… Dans une futaie, des planches fixées entre deux arbres forment une double spirale, abri ou passage. Depuis 2001, l'ASBL "La Fête de Mai" installe des oeuvres sur le territoire de la commune de Gesves dans le cadre de "La Fête de Mai". Certaines de ces oeuvres se retrouvent sur le parcours de "Sentiers d'Art"

DUCROW Sally (France) - 2018 Deux mains géantes qui symbolisent le choix entre les deux voies que nous pouvons suivre Demain - soit vers la destruction de la Nature, soit vers sa préservation."

Œuvre Sentiers d'Art installée en mai 2021 par l'artiste français Marc Averly Sur la balade des petits ponts, découvrez Arkki, une arche particulière qui joue avec votre regard ! La vision qu’elle offre varie sans cesse. De face, de profil, du dessous, «Arkki» joue avec les perspectives, les volumes, les asymétries pour vous offrir un passage unique et variable ! Marc Averly a également réalisé l’oeuvre «Farakas 4» sur Sentiers d’Art. Elle se situe à Natoye et a été installée en 2019.

Mikhail Sobolev (Russie)- 2019 « Companion » montre à quel point il est important pour tous de se sentir soutenu sur la route et durant les épreuves de la vie. La créature au visage jovial accompagne le promeneur en suivant les courbes et le terrain. Il est aussi un compagnon du sentier, de la nature et ressent l’influence de l’environnement. Cette oeuvre a été financée par l'association Pays'Art d'Ohey

Philippe Bercet (France) - 2017 Le veilleur se présente sous la forme d’une silhouette anthropomorphique d’aspect rudimentaire comme s’il s’agissait, d’une certaine manière, d’une statue sommairement élaborée par certains de nos lointains ancêtres qui l’ont implantée sur un site ayant probablement des caractéristiques singulières.

Corps d’un homme, corps debout et en mouvement, corps en constante évolution au fil du temps... A travers «État Naturel», Nicolas d’Oultremont illustre la symbiose qui existe entre l’homme et la nature et nous rappelle que nous formons un tout. Progressivement, l’œuvre donnera l’impression de s’enraciner dans le sol, symbolisant ainsi la coexistence harmonieuse entre l’homme et la nature. Cette métamorphose visuelle invite le spectateur à réfléchir sur cette relation interdépendante. Qui sommes-nous face à cette nature ? Comment notre expression corporelle se déploie-t-elle au sein de celle-ci ? Comment la nature réagit-elle à notre présence ? Exploration visuelle et sensorielle capturant les nuances de l’interaction entre l’homme et la nature.

Artiste: Alexandre Rossignon (Belgique) - 2017 C’est une coque en bois retournée. On pourrait penser à une barque retournée, mais l’objet est monolithique, sculpté d’une seule pièce, pour faire transparaitre un mouvement, un élan. La forme en ogive est privilégiée pour une question d’espace et pour sa dimension sacrée. Elle se veut inspirante et de reliance entre le bas, notre chaire, le moi de chacun, notre terre, et le haut, le cosmique,l’un.A la frontière entre sculpture,land art et(espace) fonction(nel). Le texte sacré gravé dans chacune des cahutes, invite à l’éveil des âmes. La forme des objets en longueur invite au repos et la pause…. des cocons de bois.

A travers «Flumel», Marc Averly travaille sur une proposition de bois qui jongle entre le vide et le plein pour faire parler les contrastes et jouer sur les paysages. Ce puzzle composé de nature et de vie vous invite à ouvrir l’œil sur le paysage qui vous entoure. Marc Averly a déjà réalisé «Farakas» à Natoye et «Arkki» dans le bois d’Ohey. -2022-

Xavier Rijs (Belgique) - 2017 Des Nids, capteurs de rêves.Les sculptures d’arbre se dressent pour porter nos sens et nos pensées à l’état de jaillissement, de légèreté et de liberté. Une vigueur à nier le néant et le défaitisme. Les capteurs de rêves s’élancent dans le ciel de l’avenir : nous avons à jardiner notre imaginaire, à le nourrir de terreau, de savoir et de couleur. Et à y prévoir la Fête demain. Capteurs et donc aussi émetteurs.Le thème sera concrètement réalisé par des antennes permettant à la personne assise d’être « branchée » de façon méditative, ludique, onirique ou solidaire.L’idée de ces nids est de créer du lien avec soi-même, l’autre, la nature, la planète et l’univers. Un art comme un jeu de légèreté, un jeu poétique, un jeu esthétique, un jeu sauvage (sylva, la forêt).Un nid comme banc, point de vue : pour le regard.Un nid comme fauteuil, cocon, lit : pour l’intimité.Un nid comme capteur et émetteur : pour le rêve. "Capteurs de rêves" souffre du temps qui passe... mais son créateur, Xavier Rijs, a plus d'un tour dans son sac et revient en cet automne 2022 lui donner une nouvelle vie !

Avec de beaux objets de récupération, Sally Ducrow monte un piano naturel qui joue ses notes aux élans du vent ! Utiliser de beaux objets de récupération, de vieilles clés, pour leur donner une seconde vie et en même temps un nouveau sens, celui de clés musicales. L’installation marie le détournement de ses objets du quotidien avec des éléments naturels et durables pour évoquer un instrument de musique au coeur de la nature suspendu entre 2 arbres, dans ce site particulier qu’est le Sawhis. -2023-

Artiste : Christian PIERREFIXE (France) - 2018 En avant,marche…Le début de la structure démarre à 1m70 et gagne 10 cm par paire de marche. L’ensemble de la structure est disposée en arc de cercle.Les figures seront matérialisées par juste un trou rond qui les transformera en silhouettes.

Entre ciel et terre, culture & nature, abstraction & matière, fixité & mobilité, musique & pierre. C’est dans cet entre-deux qu’est né cette œuvre. D’une part, la pierre, le travail de la main et la gravure. D’autre part, la musique, contrepoint à la matière et qui pourtant en émerge. Chaque artiste a pris en charge une note et donc, sans leurs individualités pas de gamme, et sans le groupe pas de musique possible. Avec la possibilité pour chaque promeneur de créer lui-même sa pièce musicale et ce, en se déplaçant tout autour de l’arbre, comme une forme de conversation entre la nature et la culture. -2021-

A travers cette fresque, Charlotte Bonnans et Jérôme Favre ont choisi de conter une histoire, celle des joies de l’enfance et de la curiosité naturelle du jeune âge. C’est aussi une mise en lumière du merveilleux spectacle de la faune et de la flore qui s’offre à nous. Au travers de cette fresque, ils invitent à la bienveillance et au respect du monde vivant qui nous entoure. Un message parfait au fil de Sentiers d’Art ! -2022-

Rumen Dimitrov (Bulgarie)- 2019 Cet arbre de la Renaissance, rappelant la figure en mouvement d’une femme aux cheveux mouillés, symbolise le renouveau et la liberté.

Cette silhouette improbable, sans visage, recouverte de tuiles de bois noircies interpelle les passants. Est-ce un guide ? Est-il là pour nous montrer le chemin ? Si notre route nous parait aujourd’hui incertaine, une présence rassurante est toujours la bienvenue. Et cet être de bois semble bien vouloir veiller sur nous... Caroline Léger - 2024

VAZ COATALANT Philippe (France) - 2018 Au centre de "Racine", vous pouvez vous installer, contempler, méditer et reprendre contact avec l'environnement.

Par Budd Bob (Angleterre) - 2018 « Iron Fruit » rend homage à la longue tradition de fer et du fruit en Wallonie. Normalement, le fruit pousse sur les arbres, le fer sort de la roche! Ici, les deux sont liés : un Fruit de Fer en forme de cloche se balance à une branche. Le vent s’occupera du son… ou vous?

Valère Ledourner (France) - 2018 La matière végétale régénérée s'élance vers le ciel comme si la vie reprenait au travers d'une sève imaginaire.Chaque essence de bois reliée par un cercle symbolise une des 6 portes sensorielles.Invitation au marcheur à déambuler et à faire l'expérience de ce dialogue autour du vivant.

Une invitation à la poésie, à la légèreté, à la délicatesse... Mais aussi une évocation de la théorie du chaos, le fameux effet papillon ! Quels sont les effets d’un papillon géant ? L’effet papillon, selon la théorie du chaos, bouleverserait les prévisions météo. Un papillon balèze au secours du climat ? Un battement d’ailes pour changer le monde ? Papillon, symbole de la légèreté, de l’instant présent, de la délicatesse, de l’harmonie…Un lépidoptère qui filtre les rayons de ses ailes au travers de ses voliges ajourées, un clin d’œil à l’éternité. -2023-

"Le chemin des 4 lunes" a été installée en mai 2021 par le duo d'artistes Thibaut Rijs et Xavier Rijs Fruit de l’arbre, la lune se laisse porter dans les cieux. Pour nous faire voyager dans notre bulle : être dans la lune. C’est ainsi que ce tilleul porte nos rêves, nos utopies, nos chants. Le chemin des 4 lunes devient banc du rêve, le siège d’une légende. Cet artiste a déjà réalisé une oeuvre, elle est appelée "Capteurs de rêve" et se situe à Libois

Artistes : AUBRY Isabelle & GUILLOTEAU Pierre (France) - 2018 Un cube cabane, abri artistique, enveloppe et protège le tronc d’un arbre. Cette sculpture architecture nous invite à créer, à méditer, et à nous relaxer, inspirée par la nature.Cet abri se situe au milieu des bois, vous avez donc l'obligation de respecter le code forestier. En quelques points :Interdiction de faire du feu, de se déplacer avec un véhicule motorisé, de rester sur place plus de quelques heures.Obligation de ne laisser aucune trace de votre passage, de respecter la quiétude des lieux et l’environnement, ...

Bernard Jonathan (France) - 2018 Bourgeons célèbre le printemps, saison qui dégage une intense énergie. L’enchevêtrement racinaire évoque les cycles de la nature et la puissante vitalité qui habite le monde végétal. Bourgeons nous invite à reconsidérer l’arbre à travers d’autres prismes: il régule, absorbe, protège, il est trait d’union entre le ciel et la terre… Il est comme indispensable compagnon de route.

Avec «Gloriette Lunaire», Brigitte Danse offre aux randonneurs un ciel étoilé en pleine journée ! Avec son mélange de métal et de bois, elle compose un dôme fait de 1000 et 1 nuances qui feront déborder votre imagination le temps d’une pause ! Elle offre aussi un espace de repos sur le parcours. Une pause pour prendre le temps, admirer la vue, se remettre d’aplomb pour la suite ! -2022-

Matthew Burton vous invite à prendre un temps pour vous reposer le long de nos chemins, à l’ombre de la gaillarde. Une ôde à la flore de nos campagnes, à la nature et à sa beauté. Une loupe sur une fleur, la gaillarde, qui vous invite à jeter un œil sur toutes les autres et à profiter des richesses naturelles qui vous entourent. -2024-

Natacha Brion et Anne-Sophie de Visscher (Belgique)-2019 « Ami promeneur, éloigne-toi du chemin et prend place sur une des planches rouges. En t’intégrant au paysage artistique, tu jouiras d’un point de vue différent sur la forêt. Bonne pause ! »La forêt est souvent perçue comme un environnement naturel, mais la forêt condruzienne est une forêt d’arbres cultivés par l’homme pour son usage. Ainsi en ramenant l’homme à la planche, et la planche à l’arbre, nous tentons de rappeler le lien étroit entre la forêt et les activités humaines qui en dépendent.

A travers cette proposition, Fiona Paterson veut jouer avec l’idée que les arbres traitent(process) l’air, traitent(process) l’eau, traitent (process) le sol par leurs racines et leurs feuilles... et sont connectés entre eux. Elle fait le lien avec la technologie qui marque notre quotidien et y voit un micro-processeur géant... un macro-processeur ! Ce dernier nous rappel la place de l’homme et sa dépendance à la nature. Place qu’il a parfois tendance à oublier derrière son écran. -2023-

"Pierre inspirante, pierre inspirée" a été réalisé par Norska et installée en mai 2021 Un mouvement qui accueille, Un mouvement qui invite, Un mouvement qui dresse et qui dépose à la fois, Pour célébrer l’intuition, Avec comme seul guide l’émotion Le choix de la pierre en dit beaucoup, le reste n’est plus que taille Vers une forme toute déjà là À l’échelle de l’homme À la courbe de l’homme Une pierre de connexion, qui prend, qui rayonne, Une pierre d’énergie ? Chaude de la matière et du céleste Un caillou forgé d’amour, d’inspiration, De mains pleines de vie et d’évasion Un caillou qui traverse les saisons, là dans le fond Une pierre sacrée ? Inspire… Expire…Inspire…Expire… Cet artiste a déjà réalisé une oeuvre / un abri appelé "Trivouac"

Beni Altmüller (Autriche)- 2019 Cette structure de branchages, de par sa forme arrondie, évoque une étoile dont les rayons pointent dans toutes les directions. L’œuvre est une ode à la force de la lumière qui nourrit les arbres de nos forêts.

Cette fresque, située sur le mur du Pascougui à Ciney, a été peinte par l'artiste Demis.  Elle évoque la transmission des savoirs et des expériences. L’idée est de susciter le dialogue entre les enfants et leurs (grands) parents sur ce qui fut et ce qui est... Dans une nature qui, elle, reste omniprésente et qui résiste au temps. 

Cette fresque, située rue Courtejoie à Ciney, rappelle le fait que la nature prendra toujours le dessus sur les créations de l'homme (comme les technologies). Artiste : Demosthene Stellas (Demis) du collectif Drash. A terme, la fresque s'inscrira dans une balade-découverte intitulée "Art en Ville", un mini-circuit à découvrir avec la brochure qui lui est dédiée.

Les labyrinthes sont conçus pour accéder à la paix de l’âme ; celui-ci nous sort de l’insécurité en nous faisant déboucher sur ce paysage ouvert et grandiose.

A travers cette œuvre colorée, Wouter Osterholt veut interpeller les randonneurs sur le phénomène du vagabondage, cet événement au cours duquel un animal sort de son trajet de migration habituel. Souvent dû à des tempêtes, la plupart des individus n’y survivront pas. Mais, parfois, le vagabondage aide une espèce menacée à survivre à l’extinction... lorsque les conditions climatologiques autrefois favorables commencent à changer et que de nouveaux habitats doivent être trouvés. Avec le changement climatique rapide, le vagabondage a fortement augmenté. Quelques pionniers solitaires partent à la recherche de nouveaux habitats. Pour inviter le public à prendre conscience du phénomène, l’œuvre présente des reproductions en bois d’oiseaux découverts lors d’observations récentes en Belgique.

A travers ce hamac géant, Réka Szabó crée une œuvre mettant en relation la nature, l’humain et l’espace. En s’étendant dans le paysage, la structure souligne la générosité de la nature et vous invite à y prendre place et admirer toute cette richesse végétale. La structure joue sur les pleins et les vides grâce à une forme simplifiée qui souligne la résilience des matériaux et donne vie aux espaces vides créés par l’assemblage. Cette proposition artistique permet d’accueillir au maximum 3 personnes en même temps. MERCI de respecter le travail de l’artiste.