Banalbois

Le projet TROTTY Aventure découle d'une idée simple : combiner la découverte des lieux incontournables à St-Hubert et à proximité, en 1h30 environ, et la découverte de ce sport encore trop peu connu du grand public. Notre objectif est de vous faire passer un moment inoubliable, en pleine nature. La trottinette électrique est un véhicule motorisé qui convient aussi bien aux grands sportifs, qu’à ceux qui le sont moins. Insolite. La randonnée en trottinettes électriques est une chouette expérience à vivre entre amis ou en famille, et pourquoi pas entre collègues, qui mêle découverte de la région et activité sportive originale au départ du village d'Hatrival (à 3 km de Saint-Hubert). Ludique. Nos trottinettes Trotrx sont équipées de grandes roues de 24' munies de pneus larges pour une stabilité accrue. Elles sont propulsées par deux moteurs surpuissants de 2X500W, pour 2 fois plus de sensations. L'engin vous surprendra par son aisance en toutes circonstances et par la facilité de sa prise en main. La sécurité n'est pas en reste grâce à 2 freins à disques hydrauliques très endurants. Eco-Responsable. Par petits groupes (de 3 à 7 pers. max) en toute convivialité, sans bruit, vous serez propulsés par une énergie verte, nos batteries étant rechargées avec de l'électricité garantie renouvelable par notre fournisseur Méga.

L'église actuelle fut construite en 1864 dans un style néo-gothique.La dédicace de l’église du village est suffisamment rare pour que l’on s'y attarde. Saint Ursmer était un homme de la génération de saint Hubert dont l'histoire fut fort semblable. Né vers 645, il fonda l'abbaye de Lobbes à l’initiative de Pépin de Herstal. l mourut en 716 et fut canonisé en 823, soit deux années avant le transfert du corps de saint Hubert à Andage. Il est permis d'y voir l'intervention de Thierry Ier (1055-1086), considéré comme le plus célèbre des abbés de Saint-Hubert, formé à l'abbaye Saint-Ursmer de Lobbes.Sur la route de Libin se trouve la chapelle Notre-Dame de Bonne Conduite. Datant de 1670, elle fut remise à neuf par les habitants du village en 2004, sous la direction du Curé R. Cornerotte.

Datant de 1670, elle fut remise à neuf par les habitants du village en 2004, sous la direction du Curé R. Cornerotte

Restauré à l'occasion de l'Année des Fontaines (1990), ce lavoir couvert comporte un bac destiné au lavage du linge et est alimenté par une source du lieu dit "Pré Dol Cour".Outre ce lavoir, lieu de vie sociale où s'échangeaient les nouvelles du village au rythme des battoirs des lavandières, l'alimentation en eau a comporté un réseau de bornes-fontaines à jet continu ou intermittent ou à clé, des puits et bacs abreuvoirs.La première distribution d'eau à Hatrival remonte aux années 1861-1863.

L'endroit est à la fois commun et remarquable, en tant que coin de bois. La forêt y est dense et variée. Actuellement, les conifères sont dominants, mais quelques zones conservent encore l’aspect originel de la forêt ardennaise du 19ème siècle. Le domaine de Banalbois est éloigné de toute habitation, il est situé à une petite heure de marche du village d`Hatrival. Il est très agréable de s’y promener. Quelle que soit la saison, les paysages sont magnifiques et les chemins attrayants. La faune y est abondante et il n'est pas rare de se retrouver face à des animaux sauvages. Biches, chevreuils, écureuils, renards, lièvres et sangliers traversent continuellement le domaine.Le domaine de Banalbois se situe au milieu de la grande étendue forestière de Saint-Hubert. Bien qu’il fasse partie du territoire de la commune de Libramont-Chevigny, il se rattache par tradition au village d'Hatrival.Le nom du domaine, utilisé depuis plus de trois siècles, provient du “privilège de banalité”. Au Moyen-Age, celui-ci désignait les endroits où l’ensemble du peuple avait des droits d’usage. Un four banal permettait à tout un village de cuire le pain, un puits banal fournissait de l'eau à toute la population et un bois banal était ouvert à quiconque voulait ramasser du bois pour se chauffer ou fabriquer des meubles.Ce n'est que plus tard que le mot “banal", alors synonyme de « commun » ou « public », prend le sens péjoratif qu'on lui connait aujourd'hui, où il évoque d’avantage des choses « sans intérêt » ou « sans valeur ».C'est en 1828 que l`on trouve la première trace, dans un acte écrit officiel (cadastre), d'une référence au domaine de Banalbois (environ 92 ha). En effet, le 22 août 1828, la propriété est vendue par la commune à Monsieur Wauthier. Le bois « banal » et « commun » devient alors une propriété privée.En 1851, Messieurs Hotton-Huet, Adolphe Berthot et Delapierre sont désignés comme propriétaires conjoints.En 1880, ces messieurs vendent le domaine (toujours boisé) aux familles Kelecom-Dessaux et Merlin-Huybrechts qui entament des travaux de défrichage et y construisent une ferme. Construit en 1897, le château servit de maison privée (1897-1918), de relais de chasse pour une famille bruxelloise (1920-1938), de maison de repos pour les moines de Clervaux (1938-1940), de maison de campagne pour une famille brabançonne (1945-1950), d’auberge de jeunesse fort prisée (1950-1958), puis de maison de location (1958-1965) avant d'être laissé à l'abandon.Acheté en 1975 par la Province de Luxembourg, le château est entièrement rénové en 2002 pour devenir un centre d’accueil cherchant à favoriser la réinsertion de personnes en situation précaire.Petite anecdote : Louis et Adolphe Delhaize, les fondateurs des célèbres magasins d'alimentation, venaient parfois à Banalbois s’adonner à des parties de chasse.Attention: le domaine et le château ne se visitent pas