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À voir autour

Randonnée - Tour du Mont Verjon

Plain Champ
Plain Champ
Plain Champ
Sentier Mémoire de Pierre
Col de Plain Champ
Plain Champ
Plain Champ - Vue sur la carrière
Crédit : scalland

Description

Une ribambelle de villages et hameaux typiques, avec un itinéraire qui permet de longer le pied des contreforts avant de gravir par le sentier « Mémoire de Pierre » les hauteurs du Mont Verjon et de profiter du panorama sur la Bresse.

Informations techniques

Marche
Difficulté
Facile
Durée
4h30mn
Dist.
12 km
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Profil altimétrique

Point de départ

Place du lavoir , 01270   Verjon
Lat : 46.345304Lng : 5.352414

Points d'intérêt

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Borne frontière de 1613 - Verjon

A la limite du Jura et de l'Ain, elle fait partie d'une série de bornes frontières posées en 1613, et marquant alors la nouvelle frontière entre le Royaume de France avec la Franche-Comté bourguignonne.Accès pédestre GR59 : - Depuis le col de Plain Champ (parking) - Depuis Dingier Placer dans un pré non loin du chemin et marque encore aujourd'hui la limite Ain-Jura. Cette borne fait partie d'une série de bornes frontières posées en 1613, et marquant alors la nouvelle frontière entre le royaume de France (après la prise du Revermont, de la Bresse et Bugey aux États de Savoie par le roi de France) avec le royaume du St Empire Romain Germanique (Franche-Comté). Cela suite aux Traité de Lyon, de 1601, ainsi que celui d'Auxonne, de 1612. Une frontière d'état est née ! Plusieurs points de vue et panorama sur le parcellaire typique du Revermont. Vestiges de Capettes (cabanes en pierres sèches). Accès au Mont-Myon, à la carrière de Roissiat et à Dingier. Délimitation avec la Franche-Comté (voir la Tibériade en illustration : plan en relief) A découvrir : la délimitation de la Bourgogne et de la Franche-Comté par une tibériade des lieux litigieux vers Coligny (Civria, Chazelles, Saint-Jeand'Etreux, etc.), arrêtée à Saint-Amour, le 21 juillet 1611. Outre le sort des terres en sursis aux confins septentrionaux des duché et comté de Bourgogne au XVe siècle, le traité du Câteau-Cambrésis entre France et Espagne avait prévu en 1559 que serait aussi réglés à l'amiable d'autres différends sur les limites entre les deux "souverainetés" plus au sud, notamment vers la Bresse. Il fallut toutefois attendre la fin des guerres intestines et extérieures supportées par la France jusque sous Henri IV pour que s'engagent des négociations sur ces litiges frontaliers. Le 6 juin 1611 débutèrent enfin à Auxonne des conférences entre une députation du Parlement de Dijon, agissant au nom du roi de France, et une députation égale du Parlement de Dole, agissant au nom des archiducs Albert et Isabelle Claire Eugénie, qui gouvernaient alors la Franche-Comté depuis Bruxelles. Les litiges sur toute la zonne frontalière, du Bassigny à la Bresse, furent examinés sur pièces et sur place jusqu'au 15 février 1612, date de la signature d'un traité entre les députés, ratifié le 2 mars par les archiducs et le 3 avril par Louis XIII. D'ultimes ajustements furent encore apportés ensuite pour répondre à des réclamations locales, jusqu'au 20 avril 1613, date à laquelle les députations signèrent la fin du procès verbal de leurs travaux à Auxonne. Les débats sur les lieux contestés aux environs de Coligny se déroulèrent en juillet 1611 et février 1612. Légende Tibériade (carte ancienne) A est la Croix Magnin ; B la Croix Gille ; C la Croix Souillart ; D charrière tirant à Belfort ; E chemin tirant au prey des Sauges ; F le prey des Sauges ; G le bief Saubagnaut ; H contrée des Ripes ; I grand chemin tendant de Sainct-Amour à Coligny ; K chasteau de Coligny-le-Viel ; L chasteau de Coligny-le-Neuf dict de Menton et le bourg autour d'icelluy ; M église et maisons estans au communal de Colligny ; N la maison de Guillaume Dojac ; O le lieu apellé Planchan ; P la croix apellée par les députéz du roy "la Croix Brotet" ; Q le lieu où les députéz du roy ont dict que c'estoit la Croix Jean-François et les députéz des archiducz ladicte Croix Brotet ; R le murgier et buisson Ragois ; S la montaigne de Montmyen ; T lieu où estoit le signe partibulaire de Chevignia ; U la Combe-au-Sou ; X le goulet aux Loups ; Y essart faict par ceux de Chevignia Archives Départementales de la Côte-d'Or, fonds de la Chambre des comptes de Dijon, B 265, procès verbal des commissaires députés en 1611-1613, registre de 245 folios, couverture parchemin frappé à l'or aux armes royales ; plan aquarellé (61x151 cm), le quatrième du registre, primitivement inséré au fol. 96, détaché et restauré en 1997 (Ateliers Quillet, Loix-en-Ré). Sur les lieux concernés par ce plan : dits et contredits des députations, fol. 96v°-112v° et 206-211, article du traité, fol. 224v°-225. Voir aussi : l'exemplaire identique de ce procès verbal conservé dans les archives du Parlement de Dole, Archives Départementales du Doubs, 2 B 412 ; la copie du registre B 265 (complété d'autres documents) faite en 1755 pour les Etats de Bourgogne, Archives Départementales de la Côte-d'Or, C 3527, plan inséré entre fol. 177v° et 178.

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Capettes du Revermont

Cette petite région a la particularité d’être parsemée de cabanes en pierres sèches et de gros murgers (vigne, jardin, culture en terrasse).Capettes ou cabanes en pierres sèches Sur l'ensemble du premier plateau, l'histoire a modelé, petit à petit, un paysage de pierres sèches, sillonné de murgers dissimulant d'étranges bâtisses. On observe un bocage de pierres sèches, construit avec le temps et qui abrite un riche écosystème; en effet les murs de pierre ont permis à la végétation de se développer sous forme de haies. Exemple d'architecture rurale, les cabanes sont là, cachées au travers des murs, discrètes, étranges et on les imagine imprégnées de grands secrets. On les appelle communément « Capettes », "les loges", "les cabordes", les "cabanes de berger". On les retrouve dans tous les communes alentour, au détour d'un chemin ou en bordure d'un champ. Elles sont souvent incluses dans un mur de pierres sèches. Ce type de construction est assez rare dans la partie septentrionale de la France mais on en trouve dans le Lot, le Périgord et le Vaucluse. Les paysans retiraient les pierres de leurs champs et les empilaient pour délimiter leurs parcelles. L'agriculture a évolué au profit de l'élevage et ce sont les agriculteurs-éleveurs qui ont alors utilisé les cabanes en gardant leurs troupeaux. Parfois, lorsque les terres étaient éloignées des villages, les paysans aménageaient dans ces murgers une "loge" afin de s'abriter et d'y stocker les outils le temps d'une averse ou d'un repas. De nombreuses cabanes ont été trouvées dans le Jura et le Revermont mais les constructions sont fragiles : ayant perdu leur fonction, elles ne sont plus entretenues et les remembrements en ont fait disparaître en même temps que les murgers qui les abritaient. Ce patrimoine est donc en voie de disparition. De quand datent les cabanes? Mystère. Très peu d'écrits nous parlent de ces cabanes ou de leur date de construction. Les archéologues ont formulé plusieurs hypothèses : elles pourraient remonter à l'époque gauloise voire néolithique. Certains jugent que le principe de construction en pierres sèches remonte au Moyen Age. D'autres qu'elles dateraient d'une période (XIIème siècle) durant laquelle les cultures étaient la règle sur le premier plateau. Enfin, la supposition la plus avancée est celle des grands défrichements précédents le XIXème siècle. Seule certitude donc : elles ont au moins 150 à 200 ans. Les cabanes sont des constructions originales de par leur forme, l'emploi exclusif de pierres plates et fines. Un grand nombre ont une voûte en encorbellement. La base de la cabane est droite puis la voûte est formée par dépassement de la pierre supérieure par rapport à la pierre inférieure. La majorité sont orientées dos au vent dominant. Pour offrir plus de mystère, le sol, la voûte, l'entrée différente de l'une à l'autre. A l'intérieur, des bancs de pierre longent les murs. Suivant la taille, elles peuvent accueillir de 2 à 10 personnes. Les voûtes peuvent être en coupole, droites, en arc brisé, en battière.

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Gibet du Col de plain Champ

Col au dessus de Chevignat, limite naturelle avec le Jura, borné depuis 1613 (frontière entre France et Comté de Bourgogne) a accueilli au moyen-âge des pierres patibulaires (gibet). Aujourd'hui, seuls vestiges quelques pierres de tailleCol au dessus de Chevignat, limite naturelle avec le Jura, borné depuis 1613 (frontière entre France et Comté de Bourgogne) a accueilli au moyen-âge des pierres patibulaires (gibet). Plusieurs points de vue et panorama sur le parcellaire typique du Revermont. Vestiges de Capettes (cabanes en pierres sèches). Accès au Mont-Myon, à la carrière de Roissiat et à Dingier Borne frontière : La borne fait partie d'une série de bornes frontières posées en 16132, et marquant alors la nouvelle frontière entre le Royaume de France (après la prise de la Bresse, du Revermont et du Bugey aux États de Savoie par les troupes du roi de France) avec la Franche-Comté bourguignonne. Cela suite aux Traité de Lyon, de 1601, ainsi que celui d'Auxonne, de 1612. Les fourches patibulaires (historique) Les fourches patibulaires étaient un gibet constitué de deux colonnes de pierres ou plus sur lesquelles reposait une traverse de bois horizontale. Placées en hauteur et bien en vue du principal chemin public, elles signalaient le siège d'une haute justice et le nombre de colonnes de pierre indiquait le titre de son titulaire. Les condamnés à mort étaient pendus à la traverse de bois et leurs corps étaient laissés sur le gibet pour être exposés à la vue des passants et dévorés par les corneilles (corbeaux, selon plusieurs chansons). L’expression fourches patibulaires s’écrit habituellement au pluriel bien qu’on la retrouve parfois au singulier. L'origine du terme de fourches patibulaires remonte aux temps des Romains qui après avoir dépouillé le condamné à mort de tous ses habits lui faisait passer la tête dans une fourche et son corps attaché au même morceau de bois était battu à coup de verges jusqu'à ce que le condamné mourût de ses souffrances. Les fourches patibulaires étaient en général placées sur une hauteur, hors des villes, bourgs et villages, et ordinairement près d'un grand chemin et dans un lieu bien exposé à la vue des voyageurs afin d'inspirer au peuple l'horreur du crime. Malgré le caractère macabre de ces constructions et la mauvaise odeur qui s’en dégageait, le voisinage des fourches patibulaires était souvent garni de cabarets, car les pendaisons étaient un spectacle très couru au Moyen Âge. Le nombre des piliers de justice des fourches patibulaires variait suivant la qualité des seigneurs qui les construisaient : seul le roi pouvait en avoir autant qu’il voulait, les ducs en avaient huit, les comtes six, les barons quatre, les châtelains trois et les simples gentilshommes hauts justiciers deux. Tout haut justicier devait posséder des fourches patibulaires qui manifestaient son pouvoir de justice.

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Informations complémentaires

Environnements

A la campagne

Mis à jour par

Bourg-en-Bresse Destinations - Office de tourisme - 20/09/2024
www.bourgenbressedestinations.fr
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Période d'ouverture

Toute l'année.

Nature du terrain

Rocher
Cailloux
Terre

Auteur de la donnée

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Nous n'avons pas d'information sur la difficulté de ce circuit. Il se pourrait que vous ayez quelques surprises en chemin. Avant de partir, n'hésitez pas à vous informer un peu plus et à prendre toutes les précautions nécessaires. Bonne balade ! 🌳🥾