Circuit de la Magieure

Vendue à la Révolution comme bien national et devenue bien vétuste, elle est restaurée par un architecte montluçonnais en 1876. Seuls les murs de la nef (époque romane) et le soubassement du chevet (époque mérovingienne) sont conservés.Vendue à la Révolution comme bien national et devenue bien vétuste, elle est restaurée par un architecte montluçonnais en 1876. Seuls les murs de la nef (époque romane) et le soubassement du chevet (époque mérovingienne) sont conservés. Le vestibule supporte la tribune à l'aide de beaux piliers en bois peint. Les vitraux datent du XIXe siècle. Sur le mur nord de la nef, se trouve le testament lapidaire de Messire Guillaume des Ages qui fait état d'un don en 1416 afin de faire dire une messe toutes les semaines perpétuellement pour la rémission de leur âmes et celles de leurs amis (classé objet historique en 1918). La charpente est en forme de coque de navire inversée, les murs et le chœur sont recouverts de plâtre peint et le sanctuaire est décoré de superbes trompe-l'œil.

Dans l'enceinte du parc des sports et des loisirs et à proximité du court de tennis, parcours de minigolf ombragé de 18 trous.Également sur place, piste de roller, jeux pour enfants.

Accès libre à la piste de roller aménagée dans le village à proximité du stade et du minigolf dans le parc de loisirs.

La Croix des Ages (classée Monument Historique en 1969) est un calvaire en granit houiller situé sur un ancien chemin de crête qui aurait été emprunté par les militaires en manœuvre.Vers le milieu du fût est sculpté en ronde-bosse un personnage vêtu d'une large tunique formant des plis, debout sur une console prismatique. A sa droite se trouve une croix en forme de X, laissant supposer qu'il s'agit de Saint-André. Au-dessus de sa tête fait saillie un dais sculpté d'une coquille sous une accolade terminée par un fleuron et garnie de crosses. Au sommet du fût, d'un côté, un Christ crucifié en partie mutilé est surmonté d'un écriteau. Sur la face opposée, la Vierge, debout sur un socle prismatique, la tête couronnée d'où retombe un voile descendant sur sa tunique, tient l'Enfant dans ses bras.