Après la Première Guerre mondiale, le besoin de lutter activement contre la tuberculose mais également d'aider à la réinsertion socio-professionnelle des soldats gazés durant le conflit fait naître le projet de la Cité de Clairvivre.
La Fédération nationale des blessés du poumon souhaite créer une cité sanitaire, unique en son genre, qui permette aux pensionnaires de mener une vie familiale et professionnelle, tout en étant soignés. Une subvention de 60 millions de francs est votée à l'unanimité par le Parlement pour faire aboutir le projet.
La cité de Clairvivre sort de terre entre 1931 et 1933, sur les plans de l'architecte Pierre Forestier.