Roc des Hourtous

“La Malène” means “bad hole”... But for several decades now, it has been more accurate to call it a little jewel that delights tourists. What is its secret? Using the boats which were once strictly utilitarian, back in the days when the Tarn was a transport and trade route! On 29 December 1952, the Cooperative Society of Boatmen of the Gorges du Tarn was officially created. In 1985, the Cooperative became a Worker Cooperative. Once on the water, the boatmen will help you discover sites that can only be seen and approached by boat, such as La Momie Cave, or the Woman with a Parasolrock formation above La Croze. That's at least two good reasons to treat yourself to this journey by water accompanied by the boatmen of La Malène.

" Au temps des facteurs à vélo, le préposé de La Malène se débrouillait pour faire transporter sa bicyclette par quelque charrette jusqu'à Rouveret, afin d'éviter la longue montée du causse. Il grimpait à pied le chemin vers Rieisse avec sa sacoche, distribuait le courrier, rejoignait Rouveret, récupérait son vélo pour redescendre à La Malène. Ainsi le chemin qui monte à Rieisse fut baptisé "chemin du facteur"."  (M.P Leroy-Delmer)

"On the square in the hamlet of Rieisse, you'll be able to admire a communal oven. The gable of the house right next to it has gutters which lead into a former cistern inside. All the rainwater from the roof converged on this tank, inside the kitchen, via gutters that were made first of wood and later of zinc. The cistern has a depth of 2 to 5 m and a capacity of 10,000 to 30,000 litres. When the foundations of the sheepfold were dug, Roman pottery for keeping resin was found. Indeed, whenever pine trees were felled, the resin was extracted and sent to the coast, where it was used to caulk boats. (M.P Leroy-Delmer)

L’hyperactif perché. Avec ses longues ailes pointues, il voltige très rapidement, gobant au passage quelques insectes. Depuis des perchoirs bien exposés, il cache mal son excitation, qui se traduit par un fléchissement rapide des pattes et des mouvements de la queue. On dirait qu’il a le hoquet !

"Hourtous means 'small gardens' In Occitan. This cliff promontory is a private and designed space, and displays the Occitan cross. Let your eyes be drawn down the 400 m plunge to the narrows and then westwards to the Cirque des Baumes topped by the Sublime Point. At mid-slope you can make out the profile of the Woman with a Parasol and her Court, famous dolomite rock formations.” (M.P Leroy-Delmer)

Le gai flâneur. Quand il ne trotte pas au sol à la recherche d’insectes et de graines, il voltige en arborant les galons blancs qu’il porte sur les ailes et la queue. On entend souvent sont « pink pink » court et net, mais il chante aussi de courtes notes tout en rondeur.

Le compteur d’écus. Un surnom hérité de son chant à trois notes métalliques. A l’heure du repas, le remuant volatile enchaîne les sorties courtes, avec un petit faible pour le vol stationnaire. Il n’hésite pas non plus à gober les insectes à la surface de l’eau.

Bien plus gros que les passereaux observés le long de ce sentier, les rapaces illustrent aussi la biodiversité des causses et des gorges. Parmi eux, les vautours qui tournoient dans le ciel sont faciles à repérer en journée. Le vautour fauve est le plus commun, mais trois autres espèces présentes ici font l’objet de toute l’attention des naturalistes.

Le corbeau charmant. Ce dandy en smoking noir se distingue par un curieux bec rouge courbé et une allure fière et noble. Filant gracieusement entre les falaises en déployant ses primaires, il semble porter des gants au bout des ailes.

Le petit dodu. Malgré son poids-plume, il se fait pourtant respecter par son cri perçant. Il entame souvent des vocalises en vol, avant de se poser et poursuivre son chant. Pour se nourrir, le petit dégourdi fouille comme une souris, se déplaçant entre les buissons.

La mésange sans cravate. Dans la famille des mésanges, difficile de la distinguer de la familière mésange charbonnière. Sans couleurs vive et sans « cravate », elle n’en conserve pas moins la gaîté de sa famille, révélée par un chant très sonore et flûté.

"300 m  from the  hamlet, the ruins of the Château de Planiol dominate a flat area (planiol) of the river, which is 8 m deep here. Then the Romanesque 12th century chapel appears, probably built on the site of a Carolingian oratory. An 'expiatory chapel' has been added, which contains the remains of the martyrs of La Malène. Another chapel is occupied by the Virgin Mary standing in a boat. It is brought out every May for the boatmen's pilgrimage. As for the bridge, it was built in 1856 in the place of a former ford crossed by the Esperelle draille (path for seasonal livestock migration). Because of its scant height, it did not survive the devastating floods of 1875 and 1900.” (M.P Leroy-Delmer)

"Traditionally, a hillclimbing race is held in this small town on the first Sunday in July. The first races were goat races. Marthe marshalled her goats at the bridge, climbed the slope of La Canourgue by herself and then called to them from up there. The goats ran to her. The winner was rewarded with a fragrant bouquet of bartas (box)." (M.P Leroy-Delmer)