Autrefois chassée et convoitée pour sa peau, la loutre a mis près de 30 ans à reconquérir les cours d’eau cévenols. Depuis, la recherche des traces et indices de présence permet de bien connaître sa dans le Parc national. L’écrevisse à pattes blanches et quant à elle en régression et très sensible aux variations environnementales. Sa préservation passe notamment par le maintien de la diversité des habitats et d’une bonne qualité de l’eau.