Déjà, à la fin du XVIIIe siècle, Arthur Young est sensible aux paysages bocagers de la région : “Les collines, les vallons, les bois, les enclos, les cours d’eau, les lacs, les fermes éparses forment mille tableaux délicieux.” Quant au toponyme “vergne”, il peut désigner les digues de rivières faites de pierres et de fascines (amas de branchages) ou plus simplement les prairies très humides.