Voilà un immeuble qui fut mis dans la lumière… celle du film du même nom, « Roubaix, une lumière » du cinéaste roubaisien Arnaud Desplechin ! Dans la fiction, ce lieu était en effet le décor du commissariat, alors que dans la réalité, il a abrité en un temps les locaux de la Sécurité Sociale…Un puissant bâtiment de cinq niveaux, fermé par une façade percée de 24 larges fenêtres séparées par des poteaux. Les allèges ont conservé leur décoration de briquettes à motif jacquard.Un immeuble, construit en 1928 pour la maison G.Masurel-Leclercq et Fils, signé Jacques Gréber, l’architecte du Centre Sportif Municipal dans le Nouveau Roubaix.