L’église, signalée en 1180, fait partie d’un ancien prieuré bénédictin de l’abbaye de la Sauve Majeure fondé dans la première moitié du XIIe siècle. Le prieuré disparaît à la Révolution laissant place à une simple paroisse. L’édifice fait partie des rares églises à trois nefs du Périgord et cette importance architecturale s’explique par son appartenance monastique.