Sur le vaste plateau que l’on traverse avant de gagner le sommet, on peut constater la présence d’une petite nécroplole de six tumulus alignés face à l’immensité de la chaîne pyrénéenne. Cette nécropole peut très bien être contemporaine du culte à la divinité indigène pré-romaine Heraucoritsche. Quant à la chapelle et au sanctuaire romain dont elle a repris l’emplacement, ils ont été élevés sur un camp protohistorique qui couronnait déjà, avant eux, ce sommet.