Le 3 juin 1944, Jean Vilat (58 ans), ancien combattant et membre du FTP (Francs-tireurs et partisans, nom du mouvement de résistance intérieure française) quitte sa ferme pour prévenir un campement de Résistants de l’arrivée des nazis. Pierre Denaes, 20 ans, qui était de garde, sera abattu par les assaillants. À son retour, Jean est arrêté et attaché à un arbre devant sa maison. Malgré les tortures et d’horribles mutilations, Jean ne parlera pas et sauvera ainsi de nombreux résistants.