Il y a 200 à 300 ans, les fôrets de hêtres occupaient une bonne partie du plateau du Guilhaumard. La surexploitation par l'homme (besoin en combustible lié à l'activité métallurgique de la vallée) et de nombreux incendies (celui de 1770 a ravagé le plateau) ont détruit en partie ces fôrets. Il en reste cependant une au bois de La Taillade. Mais le hêtre pousse également sur les corniches du versant nord et dans les secteurs ventés et rocheux.