Ascq, el barrio del recuerdo y la tradición

Place de la gare, l'ancienne halle à marchandise est utilisée par l'association l'Amicale des Anciens et amis de la Traction Vapeur d'Ascq, créée en 1986. Elle y abrite une vieille locomotive à vapeur et une locomotive électrique. Découvrez également des pupitres de conduite, des signaux, des tableaux de commande et divers matériels ferroviaires ainsi que les réalisations de la section modélisme. La Halle aux trains est ouverte le deuxième samedi de chaque mois entre mars et novembre.

Place de la gare, entièrement rénovée, peu de choses semblent avoir changé ici! La station es identique à ce qu'elle était il y a plus de 70 ans. Établie à 31m d'altitude, elle est située sur la ligne de Fives à Baisieux (et auparavant de Somain à Halluin). Au milieu du XIXème siècle, la progression de l'industrie fait se développer considérablement Lille et surtout Roubaix. Le chemin de fer désenclave Ascq en le rattachant à Lille en 1865 (construction par la compagnie des chemins de fer du Nord). Ces nouveaux moyens de transport développent à Ascq l'industrie liée au textile, à la métallurgie et à l'alimentaire.

Portant le nom d'une victime du massacre d'Ascq, rue du Dr Roux, la bourloire a été construite en 1990 pour préserver le jeu de bourle de la disparition. Ce jeu traditionnel du Nord de la France est très pratiqué jusqu'au début du XXème siècle. Grâce à quelques bourloires encore existantes dans la région, il l'est encore aujourd'hui.

79 bis rue Gaston Baratte. En 1792, la première mairie est installée dans une simple salle sur la cour du cabaret David Lemaire qui accueillait les banquets du conseil municipal. L'actuel bâtiment de la mairie d'Ascq a été réaménagé en 1928 pour "donner un caractère urbain au village". Il a servi d'hôtel de ville au village d'Ascq jusqu'au 25 février 1970, date de création de Villeneuve d'Ascq. Il sert depuis de mairie de quartier et est le siège du Conseil de quartier Ascq-Cité Scientifique - Haute Borne. 

Place du Général de Gaulle, elle date de la fin du XVème, début XVIème. Son clocher, doté d'un carillon, date de 1842. Son revêtement extérieur en briquettes date de 1932 et cache des murs en pierre calcaire venue des catiches. A l'intérieur, le choeur abrite une tapisserie intitulée Les Noces de Cana, réalisée par G. Werniers en 1735. En 2011, le mur du presbytère est détruit et l aplace de l'église est agrandie pour créer le square Valentine Guermonprez, du nom d'une des veuves du Massacre d'Ascq.

Elle a été construite en 1925 sur les restes d'une vieille demeure dont seul subsiste le portail daté de 1768. Propriété de la ville depuis 1981, elle accueille les centres de loisirs et abrite le service Citoyenneté. Elle héberge un joli parc d'animaux domestiques.

Cette sculpture a été réalisée par Serge Boularot en 2004, dans le cadre du 1% artistique et lors de l'extension du collège Rimbaud. Elle se situe à l'entrée du collège. L'oeuvre est recouverte d'une peinture polyuréthane sur tôles d'acier inoxydable et d'aluminium, et s'étend sur 10 mètres de longueur, 3 mètres de hauteur. Pour réaliser son oeuvre, l'artiste s'est inspiré de poèmes d'Arthur Rimabaud: "Voyelles" et "Le Bateau Ivre".

Peinture murale réalisée en 2008 par 11 élèves de CM2 de la classe de Mme Nuns, école Mermoz, encadrée par Aymeric Pihery, artiste peintre de l'Atelier 2 - Arts Plastiques. Fresque qui occupe toute la longueur (45m) du mur arrière d'une série de garages, réalisée à la peinture acrylique et remplace une précédente fresque peinte par la même école en 1988. Le thème est "La fête à la saucisse, ancienne fête de quartier créée en 1960 grâce à l'initiative d'habitants de Résidence. l'Eglise de la Nativité n'existait pas encore et il fallait trouver un local pour célébrer la messe. Les habitants ont eu l'idée de créer une fête pour subventionner le local au coin de la rue Decugis et de la rue des Érables. La "fête aux moules", trop longue à préparer, a été abandonnée au profit de "la fête à la saucisse". Elle remportera un franc succès et se déroula tous les ans en septembre, jusqu'en 1975, avec des jongleurs, des haltérophiles, ou encore des pom-pom girls.

Il est âgé de plus ou moins 140 ans. il est donc dans la force de l'âge. Il devait faire partie d'un ancien parc depuis disparu. Dans la seconde moitié du XIXème siècle, il devient un phénomène de mode dans la plupart des belles propriétés, des parcs publics et privés. Il est incontestablement l'un des arbres les plus majestueux de nos parcs et jardins.

Elle est en activité depuis la fin du XIXème siècle. Dans sa cour carrée a été construit un pigeonnier en forme de tour qui témoigne de l’intérêt passé pour la colombophilie. Elle abrite une exploitation de cultures et d’élevage de petits veaux.

On y trouve les tombes de guerre du Commonwealth (Français, Chinois, Anglais, musulmans...) ainsi que celles des Massacrés (dont les deux plus jeunes avaient à peine 15 ans), refaites par la ville, qui sont alignées.

Le Monument à la Résistance : rue de l’Abbé Lemire, a été créé à la mémoire des résistants du mouvement Voix Du Nord fusillés par les Allemands le 7 juin 1944 au fort de Seclin. Organisé autour d’un journal, La Voix du Nord, ce réseau a tenté de fédérer les différents groupes de résistance de la zone interdite. Il a fait paraître 66 numéros clandestins, d’avril 1941 au 5 septembre 1944. Pierre Houriez, chef d’un réseau d’évasion et Jean-Pierre Deshayes, envoyé par Londres, ont été les principaux acteurs de sa diffusion.

En plein cœur du Val de Marque, une promenade bucolique à travers un parc vivant, un village reconstruit de plus de 20 bâtiments, miroir de la vie rurale des siècles passés. Ce patrimoine y est animé des savoir-faire traditionnels, notamment par des expositions, des artisans au travail, mais aussi des interventions et animations d’artistes. L’ethnologie y est vivante, parmi les activités variées.