Prieuré fondé entre l’an 1060 et 1186, sous le vocable de Saint-Paixent, par des moines bénédictins venus de la lointaine abbaye de Saint Florent de Saumur, et installés d’abord à Castillon.
Lors de la Révolution de 1789, la cloche de l’église, Marie-Françoise, fut brisée. Elle avait été offerte et bénie par sa marraine le 3 octobre 1735, la comtesse de Civrac. Sa refonte coûta 400 francs aux lamothais. L’église qui avait servied e salle de réunion pendant la dizaine d’années de tourmente était dans « un état de délabrement absolu, le pavé entièrement défait, l’autel délabré. Il n’y avait plus aucun ornement, linges, ni vases sacrés. »
En 1803, pour une remise en état, le devis de l’architecte, Jean Constantin, s’élevait à la somme de 661 francs, plus de 481 francs pour la maison servant de presbytère avant 1789.
Il faut attendre 1858 pour que l’église Saint-Paixent soit agrandie et reco