Il doit son nom à une ancienne chapelle troglodyte dédiée à la patronne des navigateurs. Ses falaises calcaires furent exploitées au xx siècle pour construire certains grands équipements de l’agglomération (stade Chaban-Delmas, pont d’Aquitaine). Rendu à la nature, réhabilité par la paysagiste Graziella Barsacq en 2005-2006, il est désormais classé en ZNIEFF (Zone naturelle d’intérêt écologique, faunistique et floristique). On y recense entre autres des orchidées et des essences aux noms poétiques tel l’arbre aux papillons… Au sommet, deux belvédères offrent des vues imprenables sur le fleuve et l’agglomération.