Mentionnés sur les cartes, ces anciens « parc » autrement appelés bergerie de parcours rappellent qu’au XIX, ce paysage était tout autre. Un paysage de lande dominait et les cloches des brebis meneuses du troupeau se faisaient entendre au loin. Les bêtes étaient parquées chaque soir dans ces imposantes bergeries. De cette façon les excréments des brebis étaient récupérés et mélangés aux plantes de la lande pour former un précieux fumier qui servira à fertiliser les champs et les jardins.