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Le passé commercial à Puybelliard: dès le XVème siècle, la petite cité de Puybelliard joue un rôle commercial important. Sous les halles, les foires étaient reconnues dans toutes la région. Textes tiré du livret "De Venelles en Ruelles", disponible à l'office de tourisme du Pays de Chantonnay.
Les rues de la Venelle et des Remparts, étroites, sombres, marquées par le temps, constituent sûrement le plus ancien quartier de Puybelliard.
Le quartier offrait de nombreuses possibilités d'hébergement puisque les foires attiraient une population nombreuse, venue de loin. A cette endroit, on trouvait des établissements de passage.
Jacques-Auguste Querqui, écuyer, seigneur du Châtelier, fait l'acquisition de la propriété de Mer Rouge où il s'installe avec sa famille en 1745.
Étonnante personnalité que celle de Marie-Antoinette Pétronille Adams qui a mis ses convictions royalistes au service des armées de la Vendée militaire pendant l'année 1793.
Malgré ses formes massives, cet édifice ne manque pas d'intérêt. Agrandi ou restauré plusieurs fois, il a traversé le premier millénaire.
C'est sur ce puy, qui est aussi appelé "motte" (rue de la motte) que les vicomtes de Thouars font construire une première forteresse, élément de surveillance et de protection. Aujourd'hui, seule la tour Nord-ouest est conservée en l'état.
Le lavoir de Puybelliard, servait au femmes du village pour laver leur linge. C'était un lieu de rencontre où circulaient toutes les nouvelles du pays et de la région.
Depuis le XIème siècle, un prieuré bénédictin dépendant de l'Abbaye de Marmoutiers (près de Tours), était établi à Puybelliard. [...] Après les guerres de religion, un nouveau prieuré fut construit à la Braudière. Les bâtiments et les terres furent vendus à des particuliers.
Dans ce lieu, est né en 1735, Monseigneur Gabriel Laurent Paillou, Évêque de la Rochelle et de Luçon.
La chaîne des condamnés qui rejoignait le lieu de détention s'arrêtait ici, pour un moment de restauration et de repos.
Cette imposante maison qui ne manque pas d'attirer l'attention, a été victime des colonnes infernales qui l'ont incendiée en 1794. Du bâtiment d'origine, il ne reste que le porche et la fenêtre à meneau.