Véloroute du Bassin minier V31

L’origine du stade couvert remonte au début des années 1980. A cette époque, la Fédération Française d’Athlétisme constate qu’il n’existe pas de grandes installations dédiées à l’athlétisme en dehors de Paris. L’idée de décentraliser les équipements et d’implanter un site en province, et plus particulièrement au nord de Paris, se fait jour. L’histoire sportive du territoire est marquée par plusieurs champions locaux, notamment en football et en athlétisme. Les travaux sont lancés en 1982 sur un ancien site industriel qui regroupait quelques usines comme en témoigne le nom de le rue menant au stade « chemin des manufactures ». Le stade est officiellement inauguré en janvier 1986. L' équipement, très vite, acquiert une renommée internationale. En 1988, la direction de la ligue Nord Pas de Calais d'athlétisme met sur pied un meeting international d'athlétisme : le Meeting de Liévin. C’est ce meeting qui va faire connaître le stade au-delà de nos frontières. Le Meeting atteint très vite les sommets de la hiérarchie mondiale. Renommé "Meeting Gaz de France du Pas-de-Calais", il est classé à 10 reprises comme plus important meeting mondial en salle par la Fédération Internationale. En tout, ce ne sont pas moins de sept records mondiaux qui y sont battus, notamment ceux du saut à la perche par Serguei Bubka en 1993 et du 200 mètres féminin par Merlene Ottey, également en 1993. Liévin est ainsi identifié comme « ville territoire de sport » et occupe une place importante dans ce domaine pour tout le bassin minier.

Cette cité pavillonnaire fut construite par la Société de Liévin dans l'entre-deux-guerres. Jouant sur les ruptures de pente du sol, elle offre de belles perspectives et propose majoritairement des habitations regroupant deux logements. En comparaison avec d'autres cités, la volumétrie est davantage travaillée: deux volumes accolés avec toiture à deux pans avec ou sans lucarne, et débords de toiture. La cité accueille en outre une typologie particulière de pavillon en forme de chalet avec une toiture à longs pans. Les façades sont soit en briques de parpaings nues, soit enduites « à la tyrolienne ».

Le Percot Liévinois est le spot de pêche par excellence, constitué de plusieurs étangs. Cadre verdoyant, calme, légèrement en retrait, il est également un endroit apprécié pour la détente et la balade.

Le fonçage commence en 1862, et la fosse commence à extraire à la fin de l'année 1864. De vastes cités sont bâties à l'ouest de la fosse, ainsi que des écoles. La fosse est détruite durant la Première Guerre mondiale. Elle est reconstruite suivant le style architectural des mines de Lens d'après-guerre, avec un chevalement métallique. Il en est de même pour les cités et les écoles. La fosse est endommagée durant la Seconde Guerre mondiale, à cause de sa proximité avec la gare de Lens. La fosse no 4 cesse d'extraire en 1961 lorsqu'elle est concentrée sur la fosse n°11/19 dont elle assure l'aérage jusqu'en 1986. Louis Dominique Joseph Bigo naît le 20 juin 1787 à Lille. Le carreau de fosse est reconverti en zone industrielle. Il ne reste que les éléments de la cité dont la maison d'ingénieur avec sa large volumétrie de toiture, son jardin et son balcon en façade. Louis Bigo est président de la Société des Mines de Lens et de la Compagnie des mines de Courrières, dont il est le cofondateur. Il est maire de Lille de 1834 à 1848. Il inaugura la Colonne de la Déesse sur la Grand'Place de Lille à laquelle il aurait fait donner les traits de Mme Bigo-Danel, sa femme. Louis Bigo meurt le 14 mai 1876 à l'âge de 88 ans.

Le parc de la Glissoire a été créé sur les friches de l'ancienne fosse 5 de la Société des Mines de Lens située sur les communes d'Avion et Lens. Il tire son nom de la rivière (la Glissoire, affluent de la Souchez) qui alimentait jadis les étangs. Il s'étend sur 55 hectares. On compte 10 kilomètres de sentiers, 8 000 arbres et arbustes d’espèces variées, de nombreuses espèces d’oiseaux (72 ont été recensées dont 31 aquatiques), 6 lacs de pêche couvrant 12 hectares. Une plage aménagée fonctionne en juillet et août : baignade, activités nautiques, sport de plage et toboggan géant aménagé sur les pentes du terril 81.

Partagez l'expérience du patrimoine minier, la convivialité du nord autour d'une cuisine locale faite maison. L'occasion de découvrir la gastronomie ch'ti et les bières du coin, dans une ambiance chaleureuse. Goûtez au patrimoine minier. Pas besoin de votre casque pour passer un excellent moment dans la galerie de mine ! Horaires d'ouverture du restaurant : - tous les midis - le soir, jeudi, vendredi et samedi www.alfosse7.fr/ Tél. 03 21 43 06 98

Cuisson de pièces de viande au feu de bois, frites maison, fromages régionaux affinés… Tout est fait pour vous régaler et vous faire passer un bon moment au restaurant l'Auberge de la Coulotte. - du lundi au vendredi midi - vendredi et samedi soir - dimanche midi

Idéale pour déguster une bonne frite dans le Parc ou au niveau du Kiosque à musique. Du mardi au dimanche : 11:30 - 14:30 et 18:00 - 22:30 Tel. 03 21 70 72 62

Le Centre technique et sportif de La Gaillette constitue le centre de vie du Racing et offre à celui-ci un outil de travail exceptionnel. Inauguré en 2002, ce complexe regroupe la plupart des secteurs d’activité du club : bureaux administratifs, centre de formation et bien sûr centre d’entraînement de l’équipe professionnelle. Dotée d’une infrastructure d’accueil et d’hébergement incomparable, d’installations des plus modernes, et de nombreux terrains de football et de pelouses synthétiques, dont l’une sous un dôme de seize mètres de haut. La Gaillette place le Racing club de Lens à l’avant-garde des clubs européens en matière d’équipements de haut niveau. Ces belles installations permettent également au club de recevoir de nombreuses entreprises, fédérations, ou Ligues de football pour des séminaires ou des stages de perfectionnement. La Gaillette, c’est également là où sont organisés tous les ans les Stages Sang & Or (à destination des enfants), et, depuis 2017, La Gaillette Cup, tournoi international U12. La Gaillette en chiffres: Superficie totale : 22 hectares 12 terrains dont 3 synthétiques 1 dôme haut de 16 mètres 150 jeunes en formation dont environ 60 jeunes hébergés à l’année. 250 places disponibles dans l’amphithéâtre

Vente directe de produits de la ferme lundi Fermé mardi 09:00–12:30, 15:00–18:00 mercredi 09:00–12:30, 15:00–18:00 jeudi 09:00–12:30, 15:00–18:00 vendredi 09:00–12:30, 15:00–18:00 samedi 09:00–12:30 dim Fermé

Situé sur l'ancien carreau de la Fosse 4/5 sud, l'équipement permet de relier le centre-ville de Méricourt et les citées minières. La médiathèque se situe à la place de l'ancienne gare de la ville qui voyait passer les voyageurs et le charbon. Véritable équipement structurant du nouvel écoquartier de la ville, la Gare propose des expositions, des spectacles, une médiathèque...

Attachée à l'ancienne fosse n°4-5 de la Compagnie de Drocourt, cette cité-jardin construite dans les années 1920 vient poursuivre la cité de la Résidence de la Motte. Beaucoup plus petite que sa voisine, la cité suit une voirie courbe. Construits en briques, les pavillons regroupent deux ou trois logements. Les habitations présentent une volumétrie recherchée, notamment au niveau de la toiture : débords, pignons-lucarnes... Le style architectural est sobre avec des linteaux droits en béton et de légères frises de briques blanches. Des alignements d'arbres, des mails piétons ainsi qu'un vaste parc public confèrent à la cité une très belle qualité paysagère.

Elle est la cité la plus vaste du Bassin minier du Nord-Pas de Calais : s’étendant sur une surface de 61 hectares, elle compte 1 240 logements. Cette cité a la particularité de se développer le long et de part et d’autre d’un grand boulevard la reliant à la cité Résidence du Parc à Méricourt. Elle accueille également des équipements collectifs de très grande qualité : église, presbytères et écoles. La cité Résidence de la Motte est répertoriée comme cité exceptionnelle. Implantée en bordure de la cité Résidence de la Motte, au centre de la place publique, l’église Saint-Louis est l’oeuvre des architectes parisiens Duval et Gonse. La construction est engagée en 1928 et l’église est bénie le 6 avril 1930. Le plan de l’église repose sur le principe du plan en croix grecque, avec nef à travée unique. Les matériaux de construction sont la brique de parement à arêtes vives et la chaux. La toiture repose sur une charpente métallique. L’église est accompagnée de deux rangées de platanes placés sur les grands cotés de la place et formant un écran entre les corons et l’édifice.

Contigu au terril 101, le terril 84 est issu de l'activité de la fosse n°2 de Drocourt. Il s'agit d'un terril conique s'étendant sur 45 hectares pour une hauteur d'environ 80 mètres. Demeuré intact, il accueille depuis quelques décennies une nouvelle végétation arborescente et est également inclus dans le «parc des îles ».

Le terril 101 est également issu du lavoir de Drocourt. Le début de son édification date de 1958. Il s'agit d'un grand terril plat occupant une surface de 46 hectares. Sur une partie, il fait actuellement l'objet d'une exploitation dont l'échéance arrive prochainement à terme. En partie exploité, il n'a donc pas totalement conservé ses caractéristiques originelles. En sommet il offre de larges vues ouvertes sur l'ensemble minier de Drocourt mais également vers Hénin-Beaumont et les terrils 87 et 92.

La Cokerie de Drocourt, ancien site minier mis en service en 1930, est devenue au fil des années l’une des plus grandes d’Europe. En 2004, la cokerie est entièrement démantelée et la dépollution partielle est entreprise par Charbonnages de France. En 2006, la Communauté d’Agglomération Hénin-Carvin envisage alors une reconversion de cette friche de 160 hectares en un parc paysager qui participera à une nouvelle perception du bassin minier. Situé à la croisée de plusieurs corridors de la trame verte et bleue, le Parc des îles est un nouvel espace d’activités de pleine nature sur le territoire. C’est un milieu naturel vivant en perpétuel renouvellement où se développe une biodiversité. Ainsi, tout en se baladant entre terre et eau, on admirera les différentes ambiances du parc. On appréciera volontiers le repos sur les pelouses, une pause fraîcheur dans les îlots intimes au nom évocateur (l’île la houblonnière, l’île au vent, l’île jardin, l’île oublié, l’île de roches, l’île lagon) ou encore la vue des prairies aux couleurs changeantes au fil des saisons.