Le Viaduc des Pourrhis Niché au cœur de la Vallée du Ponto, ce viaduc témoigne de l’histoire du Petit Train des Côtes du Nord qui emmenait de 1905 à 1956 les «baigneurs» sur leur lieu de villégiature. Il est l’œuvre de Louis Harel de la Noë, ingénieur en chef des ponts et chaussées, qui dirigea la construction de nombreux ouvrages d'arts liés notamment au développement du Chemin de fer des Côtes-du-Nord. Aujourd’hui réhabilité et ouvert à la traversée, la vallée du Ponto offre de multiples circuits de randonnées à pratiquer à pied ou en vélo. De l’origine du nom « Pourrhis » Plusieurs hypothèses sont avancées pour expliquer l’origine de ce nom. Le mot « pourris »se rapporte à des terrains et vallées humides et aurait, de ce fait, été associé au Viaduc qui se situe dans cette vallée humide du Ponto. Par extrapolation, un « h » aurait été ajouté au mot d’origine afin de le dissocier du mot à connotation péjorative« pourri ». L’autre version viendrait d’un mot breton« pourh » qui qualifie une plante bretonne poussant dans des lieux humides. Lieu se traduisant par « id », « pourh’id » aurait abouti à Pourrhis. Vous souhaitez plus d'informations sur le Viaduc ? L'ensemble des oeuvres de Louis Harel de la Noë est détaillé par l'Association pour la mémoire et la Notoriété de Louis Harel de la Noë.