Brillac sentier les Deux Vallées

Ce pont-barrage date du XXe siècle. Ce pont-barrage en ciment est percé de sept conduits laissant circuler l'eau. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine

Ce pont est antérieur au XIXe siècle. Il a été restauré dans la seconde moitié du XXe siècle. Au niveau de ce pont en ciment avec garde-corps en métal, les rives de la Marchadaine sont consolidées par de gros blocs de granite érodés. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine

Cette bascule publique a été construite entre 1923 et 1924. Elle a été fournie par la société de construction des ponts à bascule Voiron (Isère). Il a été restauré en 2015. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine

L'église date de la fin du XIIe siècle et du début du XIIIe siècle. L'église comporte une nef unique de trois travées et un faux-carré de transept. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine

L'église date de la fin du XIIe siècle et du début du XIIIe siècle. Elle était située dans l'enceinte du château de Brillac. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine

Ce manoir a été construit par la famille Peyraud, famille de fermiers généraux de la seigneurie venue de Busserolles en Périgord, vers 1630. Jean Peyraud sieur de la Plante est le premier seigneur connu. Le manoir appartient encore aujourd'hui à la famille Peyraud. Le logis comporte un bâtiment central encadré de deux pavillons source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine

Des bâtiments figurent à cet emplacement sur le cadastre de 1825 mais avec un plan légèrement différent. Le logis et les communs pourraient dater de 1737, date gravée sur le linteau de la porte d'entrée. Le logement reliant le logis et les communs est postérieur à 1825. Les dépendances situées au nord de la cour également. Ce manoir a appartenu à la famille Vars, qui portait un blason d'azur à trois cœurs d'argent. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine

Un moulin figure à cet emplacement sur le cadastre de 1825. Cet ancien moulin est antérieur à 1825. L'ancien moulin est situé à proximité d'un barrage sur l'Issoire. Il est aujourd'hui en ruine et recouvert par la végétation. Il est longé par un canal de dérivation. Les ruines ont été consolidées au milieu des années 2010. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine

Des bâtiments figurent à cet emplacement sur le cadastre de 1825 mais avec un plan légèrement différent. Le logis et les communs pourraient dater de 1737, date gravée sur le linteau de la porte d'entrée. Le logement reliant le logis et les communs est postérieur à 1825. Les dépendances situées au nord de la cour également. Ce manoir a appartenu à la famille Vars, qui portait un blason d'azur à trois cœurs d'argent. Un acte notarié du 6 janvier 1896 (Octave Rabette notaire à Brillac) indique qu'il a été racheté à Pierre Auguste Renouard, ancien juge de paix demeurant à Poitiers, par Joseph Peyraud, descendant des fermiers généraux des seigneurs de Brillac. Selon ses descendants, qui habitent encore le manoir aujourd'hui, Joseph Peyraud aurait alors fait restaurer le manoir. Un écusson rouge avec trois cœurs ainsi qu'une date (1868) figure sur la façade de l'aile nord. Il pourrait s'agir du blason de la famille Vars. Les bâtiments ont été restaurés à la fin du XXe siècle ou au début du XXIe siècle. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine

Un moulin figure à cet emplacement sur la carte de Cassini. Un bâtiment figure à cet emplacement sur le cadastre de 1825 mais avec un plan différent. Ce moulin semble dater de 1888, date inscrite sur le linteau de la porte d'entrée. Il a été restauré à la fin du XXe siècle ou au début du XXIe siècle. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine

Ce pont est antérieur au XIXe siècle. Il a été restauré dans la seconde moitié du XXe siècle. Au niveau de ce pont en ciment avec garde-corps en métal, les rives de la Marchadaine sont consolidées par de gros blocs de granite érodés. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine

Cette pompe à main pourrait dater de la fin du XIXe siècle ou du début du XXe siècle. Cette pompe à main en métal comporte un décor végétal. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine