Lessac sentier les Villards

Saint-Germain est bâti à la confluence de la Vienne et de l’Issoire. Quant au Château fort, du haut de son promontoire, il occupe une position stratégique et domine de ses tours le territoire. La forteresse primitive fut édifiée au XIIème siècle et modifiée aux XIIIème, XVème et XVIIème siècles. Bien que touchée par les affres du temps, cette forteresse conserve ses tours qui délimitent la cour intérieure et au sous-sol des archères, des canonnières et des salles voûtées. Les visites guides du château sont proposées dans le cadre du Label Pays d’Art et d’Histoire du Confolentais. source : www.charente-limousine.fr

En 1845, le château a été démoli et reconstruit dans un style XVe siècle par le trésorier-général Léonard-Augustin Chazaud, petit-fils du député à la Convention Jean-François Chazaud. Les moulins ont également été en grande partie reconstruits. Sous les Chazaud, la propriété est exploitée par des ouvriers agricoles, avec un régisseur dont les plus connus sont Babaud Dulac et Eugène Nérisson. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine

L'architecture de cet ensemble doit dater du XVIIIe siècle. Certaines ouvertures et la grille en ferronnerie de la porte ont été modifiées à la fin du XIXe siècle ou au début du XXe siècle. Le bâtiment figure sur le cadastre de 1824 sur la feuille non développée du village de Sainte-Radegonde. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine

La façade antérieure du logis porte la date 1910, qui semble bien correspondre à la période de construction et du logement et de la vaste grange qui fait partie du domaine. C'est également la date qui figure sur les documents cadastraux. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine

L'église d'origine semble être de la fin du XIIIe siècle. Une première campagne de restauration est signalée en 1776. Sur l'ancien plan cadastral napoléonien, un avant-corps est figuré sur la façade de l'église, aujourd'hui plate. J. Nanglard signale des restaurations en 1864-1865, financés par la famille Chazaud. En 1873, une lettre du sous-préfet indique que grâce à Madame Marie Émilie Aymée de la Chevrelière (épouse de Léonard Auguste Chazaud qui a fait reconstruire le château de Bois-Buchet), l'église a été " reconstruite ". Il s'agit plus exactement de fortes restaurations, comprenant en particulier un portail neuf. Le pavement est alors remplacé et les dalles de l'ancien pavement réemployées pour la clôture du nouveau cimetière. L'église a à nouveau été restaurée au XXe siècle. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine

La gare de Lessac est inaugurée avec la voie de Confolens au Vigeant en 1901, les travaux de construction de la voie ayant commencé dès 1878 et l'implantation de la gare décidée en 1896. C'est aujourd'hui une propriété privée. source: inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine

La voie de Confolens au Vigeant est inaugurée en 1901, les travaux de construction de la voie ayant commencé dès 1878. C'est le pont sur lequel passait la voix ferrée. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine

Ce moulin figure sur le cadastre de 1824 et sur la carte de Cassini sous le nom du Petit-Moulin. La matrice du cadastre de 1824 indique qu'il était alors exploité, comme celui sur la Vienne, par Pierre Perret, meunier. Il utilise la force hydraulique du Montaumart juste avant sa confluence avec la Vienne. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine

L'installation de la pompe date probablement des environs de 1910-1914, lorsque la municipalité a installé des pompes sur la plupart des puits. Le puits est quant à lui plus ancien (XVIIIe siècle ?), il est figuré sur le plan cadastral de 1824 en marge de la parcelle E 468. la margelle a dû être installée en même temps que la plupart des autres puits en 1891 puis démontée lors de l'installation de la pompe. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine

L'installation de la pompe date probablement des environs de 1910-1914, lorsque la municipalité a installé des pompes sur la plupart des puits. Contrairement aux autres puits du village, ce puits n'est figuré sur le plan cadastral de 1824. Le puits est surmonté d'une pompe à bras de marque " Touraine ", et porte l'inscription BS 1026. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine

La voie de Confolens au Vigeant est inaugurée en 1901, les travaux de construction de la voie ayant commencé dès 1878. Pont à une arche construit en granite. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine

Le moulin et le logement figurent sur la carte de Cassini et sur le cadastre de 1824. Il était alors exploité, comme celui sur le Montaumart, par Pierre Perret, meunier. Au cours du XIXe siècle, ce moulin a servi à faire fonctionner des métiers à tisser, filature qui cesse son activité à la fin des années 1890. Le moulin a entièrement été reconstruit en béton et ciment vers 1922, date d'achat de la turbine. Il a cessé son exploitation en 1977. Le bâtiment du moulin est construit en béton et ciment. Il a perdu sa toiture et est en très mauvais état. Le logement, situé à l'écart, comporte un rez-de-chaussée surélevé. Il est couvert d'un toit à longs pans et croupes, et a été doublé du côté de la Vienne par un corps de bâtiment couvert en appentis. Plusieurs dépendances sont adossées. source : inventaire général du patrimoine culturel région Nouvelle-Aquitaine