Circuit pédestre N°16 - "Forêt de la Lande"

Depuis le chaos des tempêtes à la régénération de ses peuplements, le couvert forestier offre de multiples âges et visages.

Départ de l'église Saint-Laurent, prendre la route à droite et à gauche la rue de l'Abreuvoir vers le château d'eau, continuer sur la route en face.

Tourner à droite. Avant le lieu-dit, à la borne St-Jacques-de-Compostelle : prendre à gauche un chemin vers les bois.

À la sortie du bois, plusieurs chemins : prendre à droite en lisière, puis au croisement, continuer vers le pylône. Aux habitations, continuer en face pour traverser le lieu-dit Grand Chassac puis à la sortie, tourner à gauche et de nouveau à gauche (vers le pylône). À l'embran­chement, poursuivre sur le chemin.

Au croisement, à gauche en laissant St Antoine à droite et continuer sur un chemin forestier dans la forêt de la Lande toujours tout droit (dans les combes, jaillit la source de la Seudre qui sépare Marennes de la presqu'ile d'Arvert à son embouchure).

À la sortie du bois, à la fourche à gauche jusqu'à la route. Suivre à gauche la route sur 400m et tourner à droite sur un chemin traver­sant un bosquet de châtaigniers qui s'ouvre sur un champ (chasse gardée). Poursuivre sur le chemin enherbé. De loin en loin se dres­sent des chênes, continuer tout droit vers le bosquet.

À la route, prendre à gauche.

Emprunter à droite le chemin blanc longeant la chasse gardée. À la D137, grande prudence pour traverser. Passer chez Perreau, et prendre le chemin en sous-bois, il débouche sur une route.

Tourner à gauche et continuer jusqu'à la D137, traverser de nouveau. Continuer sur un chemin sablonneux en face que l'on suit tout droit le long d'une clôture jusqu'à la borne St-Jacques-de-Compostelle.

Tourner à droite et retrouver la sortie du bois. Partir en direction du Nord vers le petit bois de l'Essart par l'embranchement de gauche jusqu'à une intersection de chemins sur un coteau.

Pour finir tourner à droite vers Souillard et le château d'eau de Plassac.

À savoir :
Pas si morts les troncs d'arbres dits "morts", sont utiles à la bio­diversité. Ils continuent de participer à la vie de la forêt : ils offrent caches, garde-mangers et tanières aux insectes, aux oiseaux ou aux mammifères...

Le cerf, de moeurs crépusculaires, bien caché sous le couvert forestier, on entend retentir son brame de la fin de l'été à la mi-novembre.