Alerte

Alertes

À voir autour
Voir plus
Ouvrir
Fermer
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter

Oups... Il semblerait que Cirkwi n'ait pas l'autorisation d'utiliser votre position.

Présentation
Description
Carte
Points d'intérêt
Notes et avis
À voir autour

La Véloroute N°32 de la Mémoire - de Amiens à Arras

Description

La Véloroute de la mémoire, balisée depuis avril 2015 entre Corbie et Albert, relie Arras à Amiens.

Intégrée dans l’itinéraire national 32 reliant Paris à Lille, elle permet aux cyclistes de découvrir, le long d’un parcours s’étalant sur 90 km, les monuments dédiés à la Grande Guerre dans la Somme tels le trou de mine d’Ovilliers-la Boiselle, le mémorial de Pozières ou encore le Mémorial de Thiepval.

La Véloroute de la mémoire, qui dispose d’un balisage spécifique et qui alterne entre piste cyclable et axe routier, partage entre Amiens et Corbie un tronçon commun avec la Véloroute Vallée de Somme.

Afin de relier les grands sites, le Conseil départemental de la Somme a réalisé avec l’Etat australien des liaisons cyclables depuis Fouilloy et la Véloroute de la mémoire jusqu’au musée de Villers-Bretonneux en passant par le Mémorial national australien.

Circuit décrit par Pascal G.
V1.0 mars 2016

source :
sdaf75a1d333f6836.jimcontent.com/download/version/1441884607/module/9986739294/name/velo%20route%20memoire.pdf

Informations techniques

VTC
Difficulté
Difficile
Durée
10h
Dist.
95 km
Afficher plus d'informations

Profil altimétrique

Point de départ

6 bd de beauville , 80000   Amiens
Lat : 49.8953Lng : 2.30983

Points d'intérêt

image du object

Le mémorial national australien de Villers-Bretonneux

Dessiné par l’architecte Sir Edwin Lutyens et inauguré le 22 juillet 1938 par le roi George VI d’Angleterre et la reine Elizabeth, cet imposant monument est le dernier des grands mémoriaux de l’Empire britannique et du Commonwealth de la Première Guerre mondiale à être construit sur le front occidental. Ce jour-là, la reine Élizabeth déposa un bouquet de coquelicots, qui lui avait été donné par un écolier de la région, devant le Mémorial national australien de Villers-Bretonneux lors de son inauguration. Eut-elle une pensée pour son propre frère, Fergus Bowes-Lyon, « disparu » lors de la bataille de Loos en 1915 ? Sur les murs du monument sont gravés les noms de quelque 11 000 soldats australiens « disparus » au combat en France. Dans la nuit du 24 au 25 avril 1918, les soldats australiens reprirent Villers-Bretonneux des mains des Allemands, une bataille également commémorée dans le musée franco-australien situé dans l’école Victoria du village Dans la cour de l’école se trouve un écriteau : « Do Not Forget Australia » (« Ne pas oublier l’Australie »). Point d'intérêt décrit par Pascal G. V1.0 mars 2016 sources : www.ww1westernfront.gov.au/french/villers-bretonneux/what-happened-here.php www.somme14-18.com/lieu-de-souvenir/memorial-national-australien-villers-bretonneux www.somme-tourisme.com/cdt80/somme_tourisme/decouvrez/les_sites_de_la_grande_guerre/memorial_national_australien

80800 Fouilloy
- Elan cyclotouriste de Champs-sur-Marne et Guerre 14-18 -
Consulter
image du object

Le Musée Franco-Australien de Villers-Bretonneux

Crée par l’Association franco-australienne de Villers-Bretonneux, le Musée franco-australien inauguré le 25 avril 1975 se situe au 1er étage de l’école Victoria construite de 1923 à 1927, grâce aux dons des enfants des écoles du Victoria en Australie. Sur la façade extérieure, deux plaques (une en français et la seconde en anglais) y font référence. Le musée retrace l’histoire du corps expéditionnaire australien pendant la Première Guerre mondiale et plus particulièrement sur le Front de l’Ouest en 1918. Le musée fera l'objet d'importants travaux de rénovation en 2016, nécessaires pour permettre un plus grand confort aux visiteurs (accessibilité aux personnes à mobilité réduite, scénographie). Pendant les travaux les visiteurs seront accueillis au rez-de-chaussée dans la magnifique salle Victoria ornée de boiseries sculptées par l'artiste australien John Grant représentant la faune et la flore australienne. Une exposition provenant des collections du musée y est spécialement aménagée. Dans la cour de l’école, en plus d’une fresque australienne dans le style Aborigène réalisée par les enfants de l’école et inaugurée à l’Anzac day 2009, est inscrit sur le préau en lettres vertes sur fond jaune le message suivant : “DO NOT FORGET AUSTRALIA” . Ce message, traduit par “n’oublions jamais l’Australie” exprime le souhait du devoir de mémoire et de reconnaissance. II est à l’origine des liens étroits entre le peuple d’Australie et les habitants de Villers-Bretonneux. On retrouve cette inscription en Français dans chaque classe. Point d'intérêt décrit par Pascal G. V1.0 mars 2016 sources : www.somme14-18.com/lieu-de-souvenir/musee-franco-australien-villers-bretonneux www.somme-tourisme.com/cdt80/somme_tourisme/decouvrez/les_sites_de_la_grande_guerre/musee_franco_australien_de_villers_bretonneux

1 r victoria 80800 Villers-Bretonneux
- Elan cyclotouriste de Champs-sur-Marne et Guerre 14-18 -
Consulter
image du object

Mémorial australien - Le Hamel

Le mémorial commémore la participation du Corps australien dans la bataille décisive du 4 juillet 1918 où le Général Monash, un Australien, mena les troupes australiennes et américaines dans une bataille tactique de 93 minutes. En combinant simultanément l’aviation, le parachutage de munitions, l’infanterie et l’artillerie, il créé la tactique de combat moderne, toujours utilisée aujourd’hui et qui permet d’économiser de nombreuses vies. La bataille de le Hamel, comme celle de Cantigny, a eu une portée surtout stratégique, symbolique et psychologique. Le mémorial comprend trois murs circulaires distincts revêtus de granit vert avec sur le mur central, une grande sculpture en bronze du badge des forces impériales australiennes : le “Rising Sun” (le soleil levant). Sur les deux murs extérieurs se trouve, en anglais et en français, un extrait du discours que Georges Clemenceau, Président du Conseil des ministres, donna aux troupes australiennes quelques jours après la capture de Le Hamel. En plus d’une tranchée allemande reconstituée, le chemin menant au mémorial est agrémenté d’une série de 20 panneaux explicatifs en anglais et en français expliquant l’engagement des troupes australiennes et la bataille. Point d'intérêt décrit par Pascal G. V1.0 mars 2016 sources : chemin de moire australien : www.ww1westernfront.gov.au/french/le-hamel/index.php autres sources www.somme14-18.com/lieu-de-souvenir/memorial-australien-hamel www.somme-tourisme.com/cdt80/somme_tourisme/decouvrez/les_sites_de_la_grande_guerre/memorial_australien_de_le_hamel

80800 Le Hamel
- Elan cyclotouriste de Champs-sur-Marne et Guerre 14-18 -
Consulter
image du object

Le Musée Somme 1916 - Albert

À travers un souterrain de 250 mètres de long et à 10 mètres de profondeur, le visiteur plonge à la découverte de la vie des soldats dans les tranchées.Ce souterrain est daté du XIIIème siècle ; il a été réaménagé en abris anti-aériens en 1938 pour la population civile. De remarquables mises en scène grandeur nature vous surprennent dans une ambiance héroïque et terrible, avec un réalisme saisissant, permettant de comprendre la dure vie de nos aïeux. Dans ces tranchées reconstituées, vous découvrirez l’affrontement à l’ennemi, et aussi la boue, le froid, le gel, les nuits sans sommeil auxquelles s’ajoutent les problèmes d’hygiène : le combattant des tranchées doit souvent faire la chasse aux poux, aux puces, aux rats attirés par les cadavres… La muséographie vise à donner du sens, susciter l’émotion, restituer la dimension humaine de l’histoire et sa tension dramatique à travers de riches collections d’objets, du matériel, des armes, des souvenirs militaires ou personnels des soldats des principales nations en guerre. Avant de quitter le souterrain, une ambiance de son et lumière, où l’on s’imagine parcourir une tranchée en pleine nuit sous les tirs d’artillerie… Point d'intérêt décrit par Pascal G. V1.0 mars 2016 sources : www.somme14-18.com/lieu-de-souvenir/musee-somme-1916 www.somme-tourisme.com/cdt80/somme_tourisme/decouvrez/les_sites_de_la_grande_guerre/musee_somme_1916_a_albert

6 r anicet godin 80300 Albert
- Elan cyclotouriste de Champs-sur-Marne et Guerre 14-18 -
Consulter
image du object

Mémorial de Thiepval et centre d'interprétation

THIEPVAL De part sa position géographique, Thiepval a été le théâtre de la bataille de la Somme de 1916 : les Allemands, des hauteurs du village, dominent l’armée française restée en contre-bas, dans la vallée sur les bords de la rivière Ancre. Très rapidement la guerre de mouvement se transforme en guerre de position, le front est stabilisé et les armées commencent à s’enterrer passant des jours et des nuits à creuser des tranchées. Les Allemands vont ainsi utiliser toute cette période à construire une ligne de défense impressionnante et sophistiquée qui formait une ligne de fortification autour du village, et à l’intérieur de cette dernière : dédale de tranchées, boyaux. À la fin de l’année 1915, lors de la conférence de Chantilly, l’état major franco-britannique décide d’une offensive dans la Somme. C’est l’attaque surprise allemande sur Verdun le 21 Février 1916 qui précipite les événements de la Somme. Les Français délaissent une partie du front de la Somme aux Britanniques qui en occupent seuls 30 kms. Verdun étant quant à lui défendu par l’armée française. Plus les pertes françaises sur Verdun augmentaient, plus on pressait Haig de lancer l’offensive sur la Somme qui fut fixée au 29 Juin. Mais celle-ci fut repoussée au 1er Juillet en raison de conditions météorologiques défavorables. La préparation de l’offensive débute par un tir d’artillerie continuel nuits et jours pendant 6 jours, destiné à détruire au maximum les lignes de défenses allemandes. Le 1er juillet 1916, à 7h20, l’offensive est lancée, 100 000 soldats britanniques inexpérimentés (les bataillons de "Pals" - "bataillons de copains"), chargés de 30 kg de paquetage, partent à l’assaut, très vite fauchés par les mitrailleuses allemandes. Au soir du 1er juillet, 60 000 britanniques sont hors de combat, 20 000 d’entre eux sont tués, 40 000 sont blessés ou faits prisonniers. Les pertes allemandes représentent environ 1/10ème de ce chiffre. Le premier jour de la bataille de la Somme est un échec, un désastre pour l’armée britannique qui qualifiera ce jour du 1er Juillet 1916, le jour le plus sanglant de son histoire militaire, “the bloodiest day of the British army”. Thiepval est finalement libéré le 27 Septembre 1916 par les britanniques et la bataille de la Somme se termine le 18 novembre de cette même année. La percée n’a pu être réalisée mais la bataille de la Somme a permis aux Français de tenir à Verdun. L’armée allemande qui a dû livrer bataille en même temps à Verdun et dans la Somme est très affectée et totalement exténuée. La bataille de la Somme a provoqué chez les Britanniques 420 000 pertes (morts, blessés, disparus ou faits prisonniers). Thiepval est repris par les Allemands lors de leur grande offensive de mars 1918 pour être définitivement repris en août 1918, toujours par les Britanniques. Point d'intérêt décrit par Pascal G. V1.0 mars 2016 sources : site officiel du centre d'accueil et d'interprétation de Thiepval : www.historial.org/champs-de-bataille-de-la-somme/thiepval autres sources : www.somme14-18.com/lieu-de-souvenir/memorial-thiepval-centre-interpretation www.somme-tourisme.com/cdt80/somme_tourisme/decouvrez/les_sites_de_la_grande_guerre/memorial_franco_britannique

5 r de l'ancre 80300 Thiepval
- Elan cyclotouriste de Champs-sur-Marne et Guerre 14-18 -
Consulter
image du object

Monuments et cimetières de Pozières

Le village de Pozières situé sur les hauteurs était un point central de la défense allemande. Situé sur une crête, il était traversé par un double réseau de tranchées constituant la 2ème ligne allemande et flanqué de 2 blockhaus-observatoires au nord et au sud, dominant tout le champ de bataille (côté Albert, “Gibraltar” - côté Bapaume, “le Moulin à Vent”). Sa position stratégique en fait un solideverrou, que les troupes alliées devaient conquérirpour investir la Ferme du Mouquet, puis la colline de Thiepval, point de défense également solide de l’armée germanique. Cet objectif de contournement fut en majeure partie confié aux troupes d’Australie, dont la plupart rentraient de Gallipoli (détroit des Dardannelles), où les troupes australiennes, avec les troupes néo-zélandaises, subirent un baptême du feu extrèmement violent. Arrivés le 23 juillet 1916 et après s’être emparés de Pozières, les Australiens, épuisés par d’incessantes contre-attaques d’artillerie, furent relevés le 5 septembre par les Canadiens à la Ferme du Mouquet. Trois de leurs divisions étaient passées par le secteur de Pozières et avaient subi des pertes supérieures au tiers des effectifs engagés. Quant au village, il avait totalement disparu. Le nom de Pozières possède une telle renommée dans la mémoire australienne qu’il a été donné, après la guerre, à un petit village du Queensland (Australie). Mais Pozières a également été marqué par la première participation au combat des chars, le 15 septembre 1916,. Des 49 tanks britanniques Mark I qui se déployèrent sur une ligne Courcelette - bois de Leuze (près de Combles), 27 tanks au total atteignirent la ligne de front allemande, 19 leur premier objectif, 11 leur second et seulement 6 leur troisième. Cette date marque le début d’une progression britannique plus équilibrée et un annonce un changement dans la tactique de combat avec cette nouvelle arme. Point d'intérêt décrit par Pascal G. V1.0 mars 2016 sources : www.somme14-18.com/lieu-de-souvenir/monuments-cimetieres-pozieres www.somme-tourisme.com/cdt80/somme_tourisme/decouvrez/les_sites_de_la_grande_guerre/pozieres

353 rte d'albert 80300 Pozières
- Elan cyclotouriste de Champs-sur-Marne et Guerre 14-18 -
Consulter
image du object

HISTORIAL DE LA GRANDE GUERRE - Musée de la Première Guerre Mondiale

Une histoire culturelle comparée Le musée a été conçu pour être un musée d’histoire culturelle, ce qui se traduit par une scénographie plaçant au centre de la présentation les individus : les soldats comme les civils, les prisonniers, les populations occupées, déplacées… Cette approche anthropologique vise à montrer l’humanité en guerre, dans une guerre totale affectant la société dans son ensemble. Le mode de présentation muséographique se veut comparatiste, en mettant en parallèle pour chaque thème traité les productions des trois principaux belligérants et celles de leurs alliés. Ce comparatisme constitue la grande originalité du musée qui, par ce biais, montre et explique comment les populations ont réagi face à une conflagration d'une dimension jusqu'alors inconnue, selon leurs origines, leur culture et leur façon particulière d’envisager la guerre. Car pour ces populations immergées dans le conflit, la guerre est inséparable des représentations qui donnent sens aux souffrances endurées. C'est cette "culture de guerre" qui constitue le point commun entre tous les acteurs sociaux de 1914 à 1918 et qui est au centre du propos muséal. C'est à travers les collections réunies pour le musée et constituées d'objets originaux de toute sorte – de la pièce d'artisanat de tranchée à la banale boîte de bonbons ; de l'œuvre d'art à la pièce d'uniforme – que cette "culture de guerre" est présentée au visiteur. Au-delà des années de guerre proprement dites, l’Historial de la Grande Guerre propose une réflexion sur les origines et les conséquences du premier conflit mondial. Matrice du XXème siècle, la Première guerre mondiale a des répercussions toujours actuelles, sur le plan géopolitique et socioculturel. L’Historial de la Grande Guerre incite donc à la réflexion sur la nature de la violence, mécanismes de celle-ci, et sur sa nature protéiforme. Présenter la guerre sous tous ses aspects, c’est permettre de commencer une réflexion sur la paix au regard des les épreuves passées et du monde actuel. L’Historial de la Grande Guerre invite donc chaque visiteur à s’interroger sur la notion de « conflit », à réfléchir sur le monde passé, présent et à venir. La muséographie cherche à expliquer dans un premier temps, pour que la connaissance permette ensuite à l’émotion de s’exprimer. Ainsi, le musée montre la profonde influence aux résonances contemporaines d’une guerre, totale, industrielle et mondiale. Point d'intérêt décrit par Pascal G. V1.0 mars 2016 sources : www.historial.org/ www.somme14-18.com/lieu-de-souvenir/peronne-historial-grande-guerre www.somme-tourisme.com/cdt80/somme_tourisme/decouvrez/les_sites_de_la_grande_guerre/historial_de_la_grande_guerre

20 pl andre audinot 80200 Péronne
- Elan cyclotouriste de Champs-sur-Marne et Guerre 14-18 -
Consulter
image du object

La carrière Wellington à Arras

A la fin de l’année 1916, le secteur d’Arras est pressenti par les Etats Majors alliés pour être la base de départ d’une offensive de diversion. Cette action, combinée avec une attaque d’envergure dans le secteur français, devait attirer les troupes de réserve allemandes et faciliter la rupture des lignes ennemies entre Soissons et Reims. A partir de ce moment, les Britanniques organisent l’attaque prévue pour le mois d’avril 1917. Le principal souci du haut commandement est de concentrer des troupes en grand nombre sans attirer l’attention de l’adversaire. Un vaste réseau souterrain va alors être réalisé, il permettra aux troupes anglaises de surgir à quelques dizaines de mètres devant les premières lignes ennemies sans avoir à subir le feu ennemi lors du passage dans le no man’s land. C’est aux tunneliers néo-zélandais que l’on doit en grande partie l’aménagement des vingt-deux kilomètres de cheminements souterrains, d’une carrière à l’autre. Ces lieux étaient agencés pour répondre aux besoins élémentaires des hommes : des cuisines, des douches, un hôpital, des latrines ont été réalisées. Ces souterrains ont pu accueillir plus de 24000 hommes, soit l’équivalent de la population de la ville d’Arras à la veille du 1er conflit mondial. Point d'intérêt décrit par Pascal G. V1.0 mars 2016

107 av fernand lobbedez 62000 Arras
- Elan cyclotouriste de Champs-sur-Marne et Guerre 14-18 -
Consulter
image du object

Lieu historique national du Canada de la Crête-de-Vimy - Monument à la Division Marocaine à Vimy

Lieu historique national du Canada de la Crête-de-Vimy CENTRE D'INTERPRÉTATION DU MÉMORIAL - MINISTÈRE CANADIEN DES ANCIENS COMBATTANTS Chemin des Canadiens 62580 VIMY +33 (0)3 21 50 68 68 www.vac-acc.gc.ca Erigées au point culminant de la crête, là où les troupes canadiennes ont remporté la bataille de Vimy en avril 1917, les deux tours blanches du mémorial dominent la plaine de Lens. Hautes de 27 mètres et bâties avec 6 000 tonnes de pierre, elles sont l’œuvre de l’architecte et sculpteur canadien Walter Seymour Allward. Elles symbolisent l’union par delà l’Océan du Canada représenté par la feuille d’érable et de la France avec la fleur de lys.Il aura fallu onze ans pour les construire et sculpter sur place les quelque vingt statues qui l’ornent. Les difficultés rencontrées ont été gigantesques en raison du sol bouleversé par quatre années de combats. 15 000 tonnes de béton armé ont dû être coulées pour les fondations. Le Canada moderne est né dans les tranchées de Vimy. La plus célèbre des statues, taillée dans un bloc de pierre de 30 tonnes, représente une femme affligée - la jeune nation canadienne - pleurant ses morts. Sur le mur qui entoure le monument sont gravés les noms des 11 285 soldats tués en France lors de la Première Guerre mondiale et dont les corps n’ont jamais été retrouvés. En leur honneur, autant de pins du Canada ont été plantés dans le parc proche du monument. Au total, plus de 60 000 Canadiens ont perdu la vie durant la Grande Guerre et le Lieu historique national du Canada de la Crête-de-Vimy (le nom officiel de ce « Mémorial ») est dédié à leur mémoire. Il s’étend sur 107 hectares, en grande partie reboisés. Une partie des souterrains et des tranchées ont été conservés pour mieux comprendre l’âpreté des luttes qui ont permis aux divisions canadiennes de prendre la crête, le 10 avril 1917, et de dégager Arras, restée jusqu’alors sous le feu allemand. Cette victoire - l’une des seules sur ce front avant 1918 – demeure une page majeure dans l’histoire de la nation canadienne. Pour aller plus loin... Vimy 1917 www.cheminsdememoire-nordpasdecalais.fr/comprendre-et-approfondir/batailles/vimy-1917.html La bataille d’Arras (avril 1917) www.cheminsdememoire-nordpasdecalais.fr/comprendre-et-approfondir/batailles/la-bataille-darras-avril-1917.html Point d'intérêt décrit par Pascal G. V1.0 mars 2016

62580 Givenchy-en-Gohelle
- Elan cyclotouriste de Champs-sur-Marne et Guerre 14-18 -
Consulter

Informations complémentaires

Le programme des évènements

www.somme14-18.com et www.somme-battlefields.com recensent le programme des
événements et fournissent toutes les informations pratiques pour organiser au mieux un
séjour.

2016 - Le centenaire de la Bataille de la Somme

Les éditions touristiques du centenaire

Pour le centenaire de la Grande Guerre, le Conseil départemental de la Somme et Somme Tourisme créent et éditent des supports destinés au grand public et mis à disposition sur l’ensemble du territoire samarien.
Des supports pour inviter à venir sur place et se souvenir mais également (re)découvrir une grande page de l’histoire samarienne et internationale.

Les supports liés au centenaire réalisés par Somme Tourisme et le Conseil départemental de la Somme sont riches en contenu et bien illustrés. Diffusés à l’échelle du département de la Somme, ils offrent aux visiteurs des outils séduisants et efficaces pour découvrir le territoire.
Mis à disposition à titre gratuit, ils sont disponibles dans la majorité des lieux d’accueil du public sur l’ensemble du territoire samarien : la Maison de la Somme, les offices de tourisme, les sites du Circuit du Souvenir, les musées, les sites du Conseil départemental de la Somme ouverts au public (Archives départementales, Hôtel des Feuillants…)…

www.somme14-18.com/circuit-du-souvenir-lieux-memoire-visiter-circuit-du-souvenir/editions-touristiques-du-centenaire

Le circuit de mémoire sur l'Espace Loisirs de l'IGN :
ignrando.fr/fr/parcours/48307-le-circuit-du-souvenir-de-la-somme/

Informations

Office de tourisme du Pays du Coquelicot : 03.22.75.16.42
www.tourisme-paysducoquelicot.com

Office de tourisme du Val de Somme : 03.22.96.95.76
www.tourisme-corbie-bocage-3-vallees.com

Auteur de la donnée

Image Elan cyclotouriste de Champs-sur-Marne et Guerre 14-18
proposé par Elan cyclotouriste de Champs-sur-Marne et Guerre 14-18
France

Notes et avis

À voir autour
Voir plus
Ouvrir
Fermer
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Consulter
Prudence !
Nous n'avons pas d'information sur la difficulté de ce circuit. Il se pourrait que vous ayez quelques surprises en chemin. Avant de partir, n'hésitez pas à vous informer un peu plus et à prendre toutes les précautions nécessaires. Bonne balade ! 🌳🥾