Cette jolie randonnée s'ouvre sur la simplicité de la vie à la campagne : le son des cloches, le chant d'un grillon, la douceur du paysage.
1/ De l’école, monter au village. Laisser le centre à gauche en continuant par la rue de la Tour vers les Cléments. Passer près d’une grosse maison avec tourelle. Au carrefour, prendre à droite chemin des Iles, puis bifurquer à gauche chemin des Cléments. Traverser le hameau, puis descendre par un chemin, franchir un ruisseau et rejoindre le lieu-dit "Les Ayes" (alt. 240m). 2/ S’avancer sur la route à droite presque à plat. Environ 50 m après la traversée du ruisseau, suivre le chemin s’élevant à gauche. En haut, prendre la route à gauche. 3/ Juste avant la ferme, descendre par un sentier à gauche. Au débouché sur un chemin, continuer à droite (passer devant un ancien moulin) et rejoindre une route. Aller à gauche, puis encore à gauche chemin des Acacias. La petite route monte raide ; dépasser la dernière maison pour atteindre le carrefour "Les Mas" (alt. 240m). 4/ Continuer à gauche et s’élever en sous-bois et pâturages. Déboucher au champ du Sabot. Filer tout droit jusqu’au croisement de "Chaperon" (alt. 340m). 5/ Monter à droite puis prendre à gauche, sur la crête. Au réservoir, continuer vers le sud en restant sur le haut du coteau. Longer des champs cultivés avant d’arriver à l’intersection "La Crête-de-Baret" (alt. 400m). Poursuivre encore sur 300 m environ pour redescendre vers "Col Alexandre" (alt. 387m). 6/ Virer à gauche en direction de Jaillans. Descendre en sous-bois puis en bordure de champ. Retrouver le goudron au niveau d’une maison. Emprunter le premier chemin à droite, puis la route en face sur 200 m. 7/ Au croisement "Serne" (alt. 272m), monter par un chemin à droite. Couper la route et prendre le chemin herbeux qui descend dans la combe pour remonter en face. Par la route à gauche, traverser un hameau et revenir à Jaillans en passant devant l’église.
L’Église Sainte Marie
L’Église Sainte-Marie fut construite au XIIème siècle par les moines bénédictins de Montmajour. La légende dit que le seigneur local promit de construire une église à l’endroit où serait abbatue la bête féroce, la Jaille, qui terrorisait la population. Inscrite à l’inventaire des Monuments historiques en 1926, l’église est un bel exemple d’art roman. Excepté le la façade occidentale et quelques chapelles latérales, l’ensemble est homogène. Elle a conservé de remarquables chapiteaux : l’un reprend le thème de Daniel aux lions ; sur un autre, au motif végétaln est gravée l’inscription « Ego sum via veritas et vita » (je suis le chemin, la vérité et la vie) issue de l’évangile selon Saint Jean.
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