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Une maison Art nouveau
827 m

Une maison Art nouveau

La Belgique fut en première ligne, au tournant des XIXe et XXe siècles, lorsqu’un mouvement artistique naissant, l’Art nouveau, gagna le continent européen. Le mouvement artistique que l’on découvre est un art total, touchant toutes les formes de la palette artistique : architecture, mobilier, décoration, illustration… On y trouve deux types d’architecture, l’Art nouveau géométrique et une tendance que l’on peut qualifier d’Art nouveau floral, la plus connue en Belgique et qui se caractérise par l’usage d’arabesques et d’une ornementation naturaliste. Cette belle maison, construite en 1900, se distingue par ses châssis et les profils moulurés en pierre des baies. Elle comporte toutes les caractéristiques du style : abondante lumière, clarté des matériaux, présence de ferronneries finement ciselées. La façade est en effet véritablement ornée d’une profusion de détails Art nouveau. Les menuiseries de la porte sont découpées avec soin et garnies de verres martelés ornés de délicates ferronneries et de verres biseautés. Un vitrail aux motifs fleuris orne la baie d’imposte, au-dessus de la porte d’entrée. D’importants sgraffites, figurant des coupes et des guirlandes de fleurs, ainsi que des papillons, soulignent la corniche en bois proéminente. La partie droite de l’édifice est, quant à elle, décorée de sgraffites aux fleurs géométriques. Venant de l’italien graffiare qui signifier griffer, la technique consiste à appliquer un dessin gravé sur un revêtement de mortier. Cette technique a été particulièrement utilisée dans l’architecture Art nouveau. Classement comme monument le 24 juin 2004

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Les vestiges du château de Farciennes
1.1 km

Les vestiges du château de Farciennes

Succédant à une forteresse médiévale, le château de Farciennes s’est établi sur une île formée par un bras de la Sambre aujourd’hui comblé. Il était situé en principauté de Liège et assurait la protection de la région, dont la Sambre assurait la frontière avec le comté de Hainaut. L’ensemble a été édifié sur un mode homogène et traditionnel, en briques et pierre calcaire, sous Albert de Longueval, seigneur de Farciennes, dans le premier quart du XVIIe siècle. De l’ancien quadrilatère bordé de bâtiments sur trois côtés et marqué par quatre tours d’angle, il ne subsiste plus aujourd’hui que l’aile occidentale, flanquée de ses deux tours, un pan de mur de l’aile sud et la tour sud-est. La façade de l’aile conservée est composée de trois niveaux de cinq travées percées de fenêtres à croisées. Au rez-de-chaussée de la tour nord-ouest, à gauche de la façade, se trouve un très beau portail de style Louis XIII sur lequel on découvre un cartouche sculpté des armes de la famille de Longueval. Lieu de prestige sous l’Ancien Régime, il eut le privilège d’accueillir le roi de France Louis XIV en 1663, de passage au cours d’une de ses campagnes militaires. Le château fait aujourd’hui l’objet de travaux de consolidation qui devraient lui permettre de retrouver son lustre d’antan. Classement comme monument et établissement d’une zone de protection le 12 janvier 2009

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Une maison Art nouveau
2.3 km

Une maison Art nouveau

La Belgique fut en première ligne, au tournant des XIXe et XXe siècles, lorsqu’un courant artistique naissant, l’Art nouveau, gagna le continent européen. Le mouvement artistique que l’on découvre est un art total, touchant toutes les formes de la palette artistique : architecture, mobilier, décoration, illustration… On y trouve deux types d’architecture, l’Art nouveau géométrique et une tendance que l’on peut qualifier d’Art nouveau floral, la plus connue en Belgique et qui se caractérise par l’usage d’arabesques et d’une ornementation naturaliste. Cette belle maison, située sur la place de Châtelineau, est un admirable exemple de demeure bourgeoise du début du XXe siècle. Elle présente une façade en briques émaillées blanches et bleu clair qui forment des motifs géométriques. Les trois travées inégales sont bien marquées et la décoration, importante, y est très aboutie. Toutes les baies sont dotées de châssis individualisés par les dessins tout en courbes des petit-bois et par d’exceptionnels vitraux. Ces derniers présentent des motifs naturalistes dans les tons de bleu, vert, rouge, violet et jaune. Les linteaux métalliques, les ferronneries ouvragées et les fines consoles en bois parachèvent la façade. Dans le soubassement, on admire le soupirail circulaire, à la forme originale, et les piédroits sculptés de la porte d’entrée. À l’étage, les portes-fenêtres sont dotées de balcons protégés par des balustrades. La toiture mansardée, percée de lucarnes, repose sur des aisseliers en bois. Classement comme monument le 22 septembre 1992

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Le château Pirmez
3.1 km

Le château Pirmez

Bâti en 1833 par Victor Pirmez, maître de forges dans la vallée de la Biesme, ce château est transformé en orphelinat en 1803. Abandonné à la fin des années 1980, il est racheté en 1997 pour y accueillir un centre d’accueil et de formation professionnelle. Les façades et toitures, ainsi que la rotonde intérieure, ont été restaurées en 2016. Ce bel hôtel de maître néoclassique affiche un double corps de briques et pierres enduites. Il est cantonné de deux entrées cochères sous entablement et fronton triangulaire qui percent un haut mur à refends sur un soubassement appareillé. La façade, de deux niveaux de hauteur dégressive, affiche sept travées dont la centrale est en légère saillie. Elle est éclairée par des baies rectangulaires à appuis saillants, posés sur des consoles au rez-de-chaussée et formant un cordon à l’étage. On accède à l’édifice par une porte à encadrement mouluré, placée sous un balcon soutenu par quatre consoles, devant une porte-fenêtre encadrée de doubles pilastres sous entablement. La façade arrière présente des similarités bien qu’étant bâtie sur un mode simplifié. Le quadrilatère est protégé par une bâtière qui encadre la verrière d’une rotonde centrale qui, au sein du bâtiment, détermine la disposition des pièces. D’un diamètre de 8 m, cette superbe rotonde est surmontée d’une coupole vitrée et présente, au sol, un pavement en marbre rouge et noir du pays dont les dessins forment un damier qui se répartit en courbes hélicoïdales. Classement comme monument (toitures, façades, menuiseries et rotonde) et établissement d’une zone de protection le 12 décembre 1996

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La chapelle Saint-Roch
3.4 km

La chapelle Saint-Roch

Ce bel édifice mononef en briques enduites et pierre calcaire a été érigé en 1626, comme l’indique la date présente sur la clé d’arc de l’entrée. Il est ainsi contemporain de deux chapelles fort similaires, érigées à Fleurus en 1634 et Ham-sur-Heure en 1636-1638 à la suite d’une épidémie de peste dans la région. C’est donc tout naturellement qu’elles ont été dédiées à saint Roch, traditionnellement invoqué contre la peste et autres maladies contagieuses. La chapelle de Châtelet a été bâtie sur les lieux d’un ancien cimetière de pestiférés, aujourd’hui disparu. Elle s’élève sur un soubassement en moellons assisés et présente une façade raidie par des chaînes d’angle. Cette dernière affiche un pignon baroque orné de deux petits obélisques. La porte a conservé sa menuiserie ancienne à cloutage et ferrures. Au-dessus de celle-ci, on trouve une rosace et une niche en plein cintre surmontée d’une croix de briques et d’un oculus. La nef est éclairée de part et d’autre par deux fenêtres en plein cintre. À l’arrière, le chevet à trois pans est percé de deux baies semblables aux précédentes, ainsi que d’un oculus aujourd’hui obturé. Entre les façades et la toiture, on admire une frise dentée de briques. La chapelle est protégée par une bâtière d’ardoises surmontée au faîte d’un clocheton hexagonal planté d’une girouette en fer forgé. À l’intérieur, l’édifice arbore un plafond à compartiments peints millésimé 1633 et un autel baroque installé en 1636 puis restauré en 1849. Rare témoin de l’art baroque dans la région de Charleroi, visitable sur demande, la chapelle Saint-Roch a bénéficié de belles restaurations en 1994 et en 2006. Classement comme monument le 2 décembre 1959

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