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Découverte à Plouguenast, Côtes-d'Armor, Bretagne

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Bienvenue à Plouguenast, un charmant village niché au cœur des Côtes-d'Armor en Bretagne. Ce lieu pittoresque offre une abondance d'activités et de paysages à couper le souffle à explorer. Les amateurs de nature seront ravis par les sentiers de randonnée qui serpentent à travers la campagne verdoyante, offrant des vues imprenables sur la région. Les promenades le long de la vallée de la Rigole d'H...Voir plus

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À la découverte du patrimoine - Moncontour-de-Bretagne
10 km

À la découverte du patrimoine - Moncontour-de-Bretagne

Cité millénaire, Moncontour-de-Bretagne dresse, dans un écrin de verdure, sa silhouette massive. La place forte est construite en hauteur, sur un éperon rocheux, offrant une défense naturelle aux comtes et ducs de Penthièvre, seigneurs des lieux, et à sa capitale, Lamballe. L’existence de Moncontour serait attestée dès le XIe siècle par la présence d’une première fortification. L’enceinte, qui englobe alors un château, est agrandie et fortifiée au cours des siècles. Autour de cette cité castrale originelle, et sous la protection des seigneurs, se développent des faubourgs. L’artisanat, les activités agricoles ou encore les congrégations religieuses s’y regroupent. L’enceinte constitue alors un refuge lors des attaques ou des sièges et favorise le développement de la cité. Au Moyen Âge, Moncontour constitue une redoutable forteresse. Elle est le théâtre d’affrontements et représente un véritable verrou militaire pendant la guerre de Succession de Bretagne (1341-1364). Durant les guerres de la Ligue (1589-1599), elle n’échappe pas au sort réservé aux places fortes de Bretagne : les fortifications de Moncontour sont partiellement détruites en 1626. C’est aussi à cette période que l’activité toilière prend le relais de la fonction militaire. Ce renouveau correspond à l’essor de l’industrie et du commerce de la toile en Bretagne entre le XVIe et le XVIIIe siècle autour des cités les plus actives : Quintin-Moncontour, Uzel-Loudéac. Fabricants et marchands de toiles se construisent de riches demeures et embellissent la cité avec une architecture qui l’éloigne de sa fonction militaire orginelle. Les habitants s’installent peu à peu dans les remparts de la cité et dans les faubourgs, très étendus. La Révolution est une nouvelle période de troubles. La région de Moncontour devient le terrain des affrontements entre partisans du nouveau régime et Chouans, mouvement contre-révolutionnaire, en réaction contre les mesures politiques et religieuses prises en 1791. Cet épisode historique de la ville est présenté à la Maison de la Chouannerie et de la Révolution. Aujourd’hui, la cité affirme son ancrage dans le XXIe siècle. Forte de sa richesse patrimoniale, Moncontour accueille régulièrement des tournages de films et attire tous les deux ans un large public familial avec ses fêtes médiévales. Son cadre historique et naturel lui vaut d’être une destination touristique incontournable et Petite Cité de Caractère ®.

2 h
5 km
Facile
6 Rue de l'Éperon 22510 Moncontour
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L'église Saint-Gal de Langast
3 km

L'église Saint-Gal de Langast

Le bourg aurait pour origine un ermitage du Haut Moyen Age, en vieux breton Lann. On connaît peu de choses de la paroisse de Langast et de son église, longtemps considérée comme un édifice du 16e siècle. En effet, aucun document écrit ne permet d´éclairer les origines de cet édifice. A l´église romane a été ajouté, au 14 ou 15ème siècle, un clocher-porche à l´Ouest. La majeure partie de la construction date du 16ème siècle, époque à laquelle ont été construits les bas-côtés de la nef, les dernières travées du chœur et le chevet plat. Au 18ème siècle, on ajoute à l´édifice des contreforts. Au début du 20ème siècle le bas-côté nord de la nef est entièrement repris. Ce n´est en fait que lors de travaux de restauration conduits entre 1982 et 1995 par le service des Monuments Historiques que cet édifice considéré comme daté du 16ème siècle, a révélé une nef romane. Lors de ces travaux de nombreuses peintures murales ont été mises au jour, essentiellement sur les intrados des arcs et les faces intérieures des piliers de la nef. Cet ensemble appartient à trois périodes différentes. En effet, les peintures datent de la période romane (nef : faces intérieures des grandes arcades), du 16ème siècle (bas-côté sud et nord notamment) et du 17 ou 18ème siècle (mur ouest et bas-côté sud). En ce qui concerne le premier ensemble, attribué à la période romane, différentes hypothèses ont été formulées quant à la datation exacte de ces peintures. Certains les ont attribuées au 9 ou 10e siècle, d´autres considèrent qu´elles appartiendraient au 12e siècle. Suite à ces importantes découvertes, l´édifice a été classé Monument Historique le 10 avril 1981. Source Service régional de l’inventaire La largeur importante de près d´un mètre des baies, la présence d´opus spicatum dans les murs de la nef et l´allure des grandes arcades constituent, selon Philippe Guigon, autant d´arguments qui plaident en faveur d´une datation du début du 11e siècle pour cette nef. Ce que rejoint Marc Déceneux, pour qui ces caractéristiques qui tendent à rappeler l´église du Lou-du-lac, conduiraient à proposer une datation autour de l´an mil. En ce qui concerne les peintures murales découvertes lors des restaurations plusieurs hypothèses de datation ont été formulées, notamment celle du 9e ou 10e siècle. Cette proposition, s´appuyant à la fois sur la technique employée, le peu de pigments utilisés et le style assez schématique des figures pose différents problèmes. Le 9e ou 10e siècle ne correspondent pas à l´époque de construction de l´édifice attribuée au tout début du 11e siècle. De plus, des détails dans ces peintures viennent contredire l´hypothèse d´une réalisation d´époque carolingienne. En effet, les inscriptions Michel et Melchisédech par comparaisons paléographiques ont été datées du 12e siècle. Les costumes représentés à Langast possèdent des particularités, comme les manches larges et le col, qui n´apparaissent dans la peinture qu´au 12e siècle. Il faut donc probablement voir dans l'église une construction des alentours de l'an mil et dans les peintures une œuvre de la fin du 11e siècle et du 12e siècle. Seul le vaisseau central de la nef ainsi qu´une partie de la façade occidentale appartiennent à l´édifice primitif, roman. La façade romane est en partie masquée par le clocher-porche ajouté au 14 ou 15e siècle. Malgré l´adjonction de ce clocher, on peut aisément percevoir les éléments et la composition de la façade d´origine de l´édifice. Au sud, à l´extérieur de la façade, on conserve la partie haute d´un contrefort amorti en larmier qui épaulait la façade primitive de l´église, ainsi que le départ d´un pignon amorti en triangle. A l´intérieur du clocher d'époque gothique on retrouve les dispositions d´origine de cette façade occidentale, construite sur plusieurs rangs en opus spicatum. Elle ouvrait sur la nef par un grand portail en arc plein-cintre appareillé de minces claveaux de granit et briques. La partie supérieure de cette façade, où se voient deux baies géminées, semble refaite, d´après sa maçonnerie en grand appareil nettement différente de celle de l´édifice primitif. A l´intérieur, la nef communiquait avec les collatéraux par quatre arcades en plein-cintre légèrement outrepassé. Les arcs sont à simple rouleau présentant des claveaux de briques et plaquettes de schiste, ils retombent sur des piles carrées, sans imposte. Dans la partie supérieure du mur, sous la charpente, ont été mises au jour des baies romanes qui fournissaient un éclairage direct à la nef. Percées au-dessus des grandes arcades, elles sont en arc plein-cintre, formées de claveaux de briques et plaques de schiste (tout comme les grandes arcades). Larges d´un mètre environ ces fenêtres, aujourd’hui aveuglées, étaient peu ébrasées. Les murs du vaisseau central de la nef où sont percées les arcades et baies romanes, présentent, tout comme celui de la façade occidentale, une maçonnerie en opus spicatum. Les bas-côtés d´origine de la nef étaient moins élevés que ceux qui existent aujourd’hui, des travaux de restauration ont d´ailleurs permis de retrouver les traces des poutres d´origine. Le chœur actuel présente un chevet plat mais nous ignorons complètement le plan et l´aspect du chœur primitif.

1 Rue du Presbytère 22150 Plouguenast-Langast
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La chapelle Saint Jean
3 km

La chapelle Saint Jean

Cette chapelle, peu documentée, est un édifice construit à la fin du 15ème siècle ou au début du 16ème siècle, située dans le nouveau cimetière de Langast. L’édifice fait l’objet d’une description très tardivement, en 1884 uniquement. L'architecture de l'édifice, qui possède un plan rectangulaire, est modeste. La toiture est en ardoise de Sizun. Sont surtout remarquables la charpente de la chapelle en forme de bateau retourné et les sculptures animalières et fantastiques présentes sur les sablières de bois. La charpente, qui a peut-être servi de modèle pour l'Abbaye Notre-Dame de Boquen, possède des étrésillons en forme de croix de saint André et un modeste clocher central. Un bras de transept était présent sur la face nord de l'édifice. La charpente qui est conservée en son sein est un très rare exemple de charpente ancienne dans le département. L'édifice fait l’objet d'un classement depuis le 22 juillet 1913, suivi d'une campagne de restauration trahissant l'authenticité de la bâtisse. L'édifice contient des statues polychromes de saint Jean et saint Paul. On y venait en pèlerinage pour demander la guérison des porcs malades. Travaux de restauration : Après un diagnostic effectué en 2010 avec le constat de désordres susceptibles d'être dangereux à la fois pour la pérennité de l'édifice et la sécurité des usagers du cimetière adjacent, des travaux sont effectués. Des travaux réalisées de 2012 à 2015 financés en partie par souscription avec l'aide de la Fondation du patrimoine : la charpente intérieure a été consolidée et rénovée comme à l'origine, tout comme la couverture, le lambris intérieur et le jointoiement. Les vitraux ont été retirés et remplacés par du thermoplastique transparent durant les travaux et sont en cours de rénovation aux ateliers Henri Helmblod, de Corps Nuds (35). Une mise en lumière sobre de l’intérieur a été mise en place.

5264A Rue du Vauglin 22150 Plouguenast-Langast
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