Très longtemps appelé dyke, cet imposant rocher est aujourd’hui appelé neck qui veut dire cou en anglais.
Un écrivain local, M. Mazoyer, admiratif devant cette vision, rédigea ceci en 1842 : « Mais ce qui mérite le plus la curiosité de l’étranger, c’est le rocher de Saint Michel, en forme de pain de sucre, dont la hauteur est démesurée, et au sommet duquel est bâtie une église avec un clocher qui commande l’admiration par la hardiesse de sa structure et dont l’ordonnance se distingue spécialement par l’heureux accord des lignes, parfaitement en harmonie avec la sévérité du style de l’église ».
Ce fut un véritable exploit architectural que d’y bâtir la chapelle. Pour cela il a fallu, il y a plus de 1000 ans, creuser un chemin pour accéder au sommet, aménager une plate-forme et utiliser la pierre disponible sur place. Un chantier en hauteur et sur un espace de petites dimensions.