Autrefois le seul refuge offert aux navigateurs des environs était la Rade de la baie de l'Aiguillon protégée des vents violents et des caprices de la mer par le cordon dunaire de la Pointe de l'Aiguillon. Mais son envasement empêcha peu à peu les navires d'accoster. En 1840, le port de l'Aiguillon fut créé avec des moyens de fortune et ses estacades de bois permirent alors aux bateaux de s'amarrer sans danger.