Les terres sablonneuses de la Faute-sur-mer s'étant révélées propices à la culture de la vigne , les aiguillonnais décidèrent d'y planter des ceps. Mais pour se rendre sur ces terres, il fallait traverser le chenal. Contre un petit vin de pays, un passeur acceptait de porter sur ses épaules, les personnes voulant gagner la rive fautaise sans emprunter les eaux boueuses, à marée basse.Par la suite, on put traverser le chenal grâce à un bac, à marée haute. En 1900, on entreprit la construction d'un pont à une voie charretière pouvant supporter de lourds véhicules.