La rue de Noyon est bordée de maisons de différentes époques.
A droite, celle du n°14 date du XVIIe siècle. Elle arbore le traditionnel pignon flamand.
Un peu plus loin, à gauche au n°17, un hôtel particulier, transformé aujourd'hui en résidence, présente un portail ouvragé décoré d'angelots musiciens.
Au n°30, les grilles de l’archevêché vous laissent apercevoir le beau bâtiment en brique et pierre reconstruit en 1924 par Pierre Leprince-Ringuet.
La rue débouche dans l'Avenue de la Victoire. Cette large avenue a été tracée dans les ruines de la Première Guerre mondiale, suivant un schéma haussmannien. Une belle perspective est ainsi créée entre la plus ancienne porte de la ville et la façade de l'hôtel de ville.