« Nous voici devant un four… non plutôt un fournil ou maison du four « ty forn ».
Ce petit bâtiment, prolongé par l’arrondi du four, couvert d’un toit et construit en pierre, abrite le bois, les fagots.
Mais il a aussi servi d’habitation pour une femme, Marie Julienne – Mari Suian -, qui y vécut au milieu du XXe siècle avec ses enfants.
Continuons jusqu’à l’ancien presbytère, je voudrais vous parler d’un troublant personnage qui a séjourné à Séglien. »