Autrefois, les toits étaient couverts de chaume de seigle. Sa longueur et sa souplesse permettaient la confection de cette couverture très répandue au XIXème siècle.
Des indices sont visibles : certains pignons sont prolongés au-dessus du toit par une chevronnière, bande de pierres taillées qui protégeait le bord de la couverture des vents dominants et de la tempête. De même la forte pente du toit permettait à l'eau de s'évacuer rapidement, pour éviter le pourrissement du chaume.