Panorama sur l'étang d'Amel
L’étang d’Amel, aménagé par les moines au 12° siècle pour la pisciculture, est l’un des derniers étangs de la plaine de la Woëvre ayant gardé son caractère sauvage. Riche de forêts de roseaux, les alentours sont devenus un refuge pour les oiseaux qui y vivent, nichent et trouvent là, eux aussi, de quoi se nourrir : petits poissons, insectes aquatiques…
L’avifaune représente une centaine d’espèces, parmi lesquelles celles emblématiques des zones humides : butor étoilé et blongios nain. On y trouve aussi le busard des roseaux ou encore la rousserolle turdoïde.
On a également relevé sur le site la présence d’une quarantaine d’espèces de libellules et une population de cuivré des marais.
Le secteur est également très apprécié des amphibiens comme la rainette verte, les grenouilles vertes et rousses, les crapauds et les 4 sortes de tritons visibles dans la région.
Le secteur abrite également 7 plantes protégées comme la grande douve, le séneçon des marais et le potamot à feuilles aigües.