Cette source figure déjà sur la carte Ferraris (1778) orthographiée « Pirquain ». Elle desservait en eau les maisons proches. De tout temps, les maisons les plus proches étaient celles du hameau de « Bourgogne », à plus de 500 m à vol d’oiseau. C’est à pied, par le chemin que le promeneur suit encore actuellement qu’on venait puiser l’eau ici.