Kesa a d’abord longtemps été graffeur avant de faire du collage urbain. Passionné de vinyle, c’est un soir qu’il décide d’en chauffer un avec un sèche-cheveux. Voyant que le disque devient mou (et donc modulable), il parvient à plusieurs idées et crée de nouvelles oeuvres (aujourd’hui, il n’utilise plus le sèche-cheveux). C’est ainsi que, inspiré par la musique, il crée son propre monde entouré de volatiles et autres animaux de rue (oiseaux, chats, souris, rats...).