Les prairies situées entre la rue de la Gohale et la rue de la Victoire, d’une superficie d’environ quinze hectares, portaient autrefois le nom de « Paradis Hardy ». Les bâtiments du n° 20 de la rue de la Gohale faisaient autrefois partie de la ferme de Léonard Hardy, important rentier-propriétaire fermier au XIXe siècle.