Elle fut sans doute érigée pendant la période templière. Sur le bras droit, un T y est gravé ; ce genre de croix est alors appelé « croix de potence » parce qu’à cet endroit, en général, un condamné a été soit pendu, soit enterré. La légende gacilienne rapporte qu’un certain individu peu recommandable nommé Jacques Caris ( d’où le nom de cette croix) y fut assassiné.