Placée sous le vocable de Saint-Jean Baptiste, cette propriété privée abritait les statues de Saint-Cornely (patron des bêtes à cornes en Bretagne) et Sainte-Catherine. Plus loin, un curieux bloc rocheux : le pied d’Anon. Un propriétaire de Trécesson, au temps de « Gil Blas », venant de perdre tous ses biens au jeu dans les salons de Versailles, aurait misé ce rocher en dernier ressort en le qualifiant de « Manoir du Pied d’Anon ». Il ne cessa alors de gagner et retrouva ainsi tout ce qu’il avait perdu...