« La belle marinière a du caractère. En période de crue, la marinière devance le bateau pour le rattraper à la prochaine écluse et elle réussit à le freiner : 40 tonnes lancées à 20 Km/h, dans la pluie, le vent et le courant. Elle s’acquittait
autant des tâches ménagères que des manoeuvres réservées au matelot, tout en gardant un oeil attentif sur les enfants. Les lessives étaient faites les jours où le bateau était en charge. Et les courses en ville étaient chronométrées… »
(extrait du sentier d’interprétation du canal à Guillac).