Le soin des malades et l’éducation des jeunes filles sont dispensés au couvent des Ursulines par des sœurs jusqu’en 1905, date à laquelle la loi de séparation de l’Église et de l’État retire le droit d’instruction aux congrégations. La chapelle, construite au XVIIIe siècle, a la particularité d’avoir un juvénat en partie haute, c’est-à-dire un dortoir accueillant les jeunes filles. Cette rareté architecturale lui a permis d’être classée au titre des monuments historiques.