ce village deviendra l'une des étapes familière de Maurice Genevoix et de Ceux de 14 qui l'aborderont dès la fin du mois de Septembre 1914. Les hommes n'aiment cependant pas trop le traverser car il est à porter de tir de l'artillerie allemande et il est le dernier village avant les premières lignes des Eparges.
Il accueille d'ailleurs les postes de secours des soldats blessés et mutilés aux Eparges qui descendent en grand nombre de la zone de combat. Cette vision donne souvent un grand coup au moral de ceux qui montent dans les tranchées.