- Voilà une œuvre de Lucile Soufflet (1975) et Bernard Gigounon (1972) qui a été commandée par la ville quand on a réaménagé les quartiers du centre-ville. Au début de l’année 2012, les artiste fixent sur le trottoir une assiette brisée géante en fer émaillé. - Mais à quoi ça sert, D'Jobrette ? - Eh bien, c’est un hommage à la très connue faïencerie BOCH-KERAMIS qui a fermé ses portes en 2011. Mais c’est aussi pour donner l’envie de se renouveler, de remplacer par autre chose ce qui n’existe plus. - C’est juste D'Jobrette, pour les artistes, quand un machin ou l’autre est cassé, on le remplace. Il faut alors que nous travaillons tous ensemble pour bâtir l’avenir.