- Voilà que nous arrivons au parc communal Warocqué, D'Jobrette ! - As-tu vu D'Jobri, qu’autour du parc, on trouve encore deux ou trois maisons qui permettent de se rendre compte qu’on n’est pas dans un coron ouvrier ? - Ah oui, D'Jobrette, c’est un coron – si on peut dire – qui a été bâti grâce à Raoul Warocqué. Tu te demandes à quoi pouvait ressembler une maison de bourgeois en ce temps-là ? - Oui, je regarde les façades décorées de faïences des numéros 70 – 72 de la rue Arthur Warocqué. Ces maisons-là ont été construites sur les principes de l’art nouveau, un mouvement artistique fort apprécié en ce temps-là.