Chapelle de garnison à l’origine, église dès 1669, de style baroque longtemps, elle a subi plusieurs modifications et restaurations dont la plus spectaculaire a eu lieu dans les années 50 par l’architecte Joseph André et qui lui donne aujourd’hui une allure de basilique byzantine. La reconstruction de cette église après la guerre 1940-1945 est née de l’émotion suscitée par le massacre d’une vingtaine d’otages par des rexistes quelques jours avant la Libération en 1944. Les autorités ont souhaité, en souvenir de ces évènements tragiques, un mémorial à la mémoire des victimes et à la vigilance contre l’intolérance et la violence.
La mosaïque dans l’axe nouveau, moderne, est l’élément le plus remarquable : composée de millions de petits blocs de verre coloré ou recouverts d’une mince feuille d’or, elle est l’élément le plus impressionnant de l’église. Cette composition de Jean Ransy (voir église Saint-Antoine de Padoue) réalisée par un atelier de Venise est une illustration du texte de l’Apocalypse de saint Jean.
Le bon, le mauvais.
Le vrai, le faux
La vérité, le mensonge.
Une dichotomie sans faille.
Et l’entre deux ?
Culte catholique
01 janvier - 31 décembre
lun 8.00 - 19.00
mar 8.00 - 19.00
mer 8.00 - 19.00
jeu 8.00 - 19.00
ven 8.00 - 19.00
sam 8.00 - 19.00
dim 8.00 - 19.00
Visites guidées via la Maison du Tourisme
Pour une description plus complète et un aperçu des 6 éléments remarquables : openchurches.eu/fr/edifices/saint-christophe-charleroi