Jadis les bergers allumaient un feu de camp près de ce chêne lorsqu'ils venaient faire paître les animaux. Ils avaient pris l'habitude de repousser les cendres auprès du tronc pour le retrouver la fois suivante. Peu à peu les braises encore chaudes ont brulé l'arbre en son cœur, sans jamais qu'il périsse. En 1950 un enfant pouvait passer dans le creux laissé dans le tronc par le feu. En 1970 il fallait déjà se baisser et aujourd'hui seul un écureuil peut se faufiler dans le trou !