Le sentier enjambe sur de grosses dalles de lauzes le béal servant à l’irrigation des terrasses et dont le départ se situe à 1,5 km en amont. « Le béal, je sais qu’il y avait plusieurs personnes qui y avaient droit et qu’ils avaient chacun un jour pour utiliser l’eau. Chez moi, il y avait au moins trois kilomètres de béal et pour les entretenir, on y travaillait au mois de mars et en automne. Maintenant on a la possibilité d’arroser les parcelles avec un tuyau mais ça ne répartit pas l’eau comme un béal. Quand il y avait partout des canaux, tout était vert, maintenant c’est sec ».