Au siècle dernier, les mines de cuivre étaient le plus gros employeur de la vallée. Elles ont fermé au début du XXe siècle entraînant le déclin économique d'Arrigas. Les bacs de lavage du minerai sont encore visibles le long de la D 189, à la sortie du village, en direction de Peyraube. Le chemin de fer n'a pas amené la prospérité escomptée, puisque pour des raisons techniques, une gare n'a pas pu être construite à Arrigas. Pour prendre le train, il fallait aller à pied jusqu'au village voisin d'Aumessas. (Jérôme Reversat)