Le site ruiniforme de Nîmes-le-Vieux a été baptisé ainsi en 1908 par son «découvreur» Paul Arnal, pasteur à Vebron. En 1910, la revue Causses et Cévennes publiait un article du grand géographe E.A. Martel, consacré au site : «Ce n’est pas comme à Montpellier-le-Vieux, un groupement d’enceintes closes (profondes de 100 m) ciselées autour d’un massif rocheux central, mais un front de falaises, un ressaut de la surface du Causse Méjean, qui présente une grande longueur de demi-cirques, tout hérissés de centaines de rocs dolomitiques, troués, taillés, sculptés...»